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DISPERSAL OF NORMAL AND IRRADIATED LABORATORY STRAINS AND WILD STRAINS OF THE OLIVE FLY DACUS OLEAE IN AN OLIVE GROVE
Author(s) -
FLETCHER B. S.,
ECONOMOPOULOS A. P.
Publication year - 1976
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1976.tb02632.x
Subject(s) - dacus , biology , biological dispersal , tephritidae , pest analysis , horticulture , population , demography , sociology
Studies on the dispersal rates of normal and σ‐irradiated laboratory‐reared, and wild Dacus oleae (Gmelin) were carried out in an olive grove using protein‐baited McPhail traps. No differences were found in the dispersal rates of normal and irradiated laboratory‐cultured flies, or between males and females. The mean distance travelled by the surviving flies up to 2 weeks after release was 180–190 m, and by that time only ca. 13% of the flies remained alive in the grove. No laboratory‐reared flies were trapped outside the olive grove. The limited amount of data, obtained with wild flies, suggested that they may disperse over greater distances than laboratory‐reared flies. RÉSUMÉ DISPERSION EN OLIVERAIE DE DACUS OLEAE PROVENANT DE MOUCHES SAUVAGES OU D'éLEVAGE. IRRADIÉES OU NON L'étude de la vitesse de dispersion de D, oleae soit sauvage, soit élevée en laboratoire, avec ou sans exposition aux rayons σ, a été réalisée en oliveraie en utilisant des pièges Mac Phail, avec pour attractif une protéïne. Aucune différence n'a été enregistrée entre la vitesse de dispersion des mouches (quel que soit leur sexe) provenant d'élevage en laboratoire qu'elles aient été irradiées ou non. La distance moyenne parcourue par les mouches survivantes, deux semaines après le lâcher, est de 180 à 190 m. Le pourcentage de survie de ces mouches dans le verger, 15 jours après leur liberation, est de 13% environ. Aucune des mouches provenant d'élevage en laboratoire n'a été capturée après le lâcher, en dehors des vergers d'oliviers. Les résultats obtenus avec les mouches sauvages, bien que plus limités, indiquent que celles‐ci peuvent se disperser sur des distances plus importantes que les mouches élevées en laboratoire.