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A SAMPLING PLAN FOR STUDIES ON THE POPULATION DYNAMICS OF LEPTINOTARSA DECEMLINEATA (COLEOPTERA: CHRYSOMELIDAE) ON TOMATO 1
Author(s) -
LATHEEF M. A.,
HARCOURT D. G.
Publication year - 1973
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1973.tb00285.x
Subject(s) - leptinotarsa , colorado potato beetle , biology , forestry , population , larva , ecology , geography , demography , sociology
A study of sampling variability in field populations of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata (Say), on tomato in eastern Ontario, showed that inter‐plant variance was the major source of variation for eggs and larvae, and that intra‐plant variance was the major source for adults. For eggs and larvae, the most appropriate sample unit was the basal one‐sixth of the plant with its foliage or fruit. For adults, it was preferable to take the whole plant. The number of plants required for reliable population estimates was inversely proportional to population density; this relationship was graphed for three levels of sampling precision (10%, 15%, and 20% standard error). Résumé UNE MÉTHODE D'ÉCHANTILLONNAGE POUR L'ÉTUDE DE LA DYNAMIQUE DE POPULATION DE LEPTINOTARSA DECEMLINEATA SUR TOMATE Dans le but d'expliquer pourquoi le Doryphore est un ravageur de peu d'importance pour la tomate, des études de populations ont éTÉ entreprises dans l'est de l'Ontario en 1968. L'objet était de réaliser des tables de vie écologiques et d'élucider le ou les facteurs qui sur tomate agissent sur les populations de l'insecte. Ce travail rapporte la variation entre les échantillons pour les différents stades de développement et se base sur l'étude de ces faits pour concevoir une méthode d'échantillonnage pour l'estimation des populations et de leur mortaliTÉ. L'analyse de variance montre que la variance entre les plantes hôtes est la source principale de la variation du nombre d'œufs et de larves, et que la variance à l'inTÉrieur de l'échantillon de plante‐hôte était à l'origine de la variation observée dans le nombre d'adultes. Pour les œufs et les larves l'uniTÉ d'échantillonnage la plus favorable est la partie basale de la plante avec son feuillage et ses fruits, représentant 1/6 de l'individu entier. Pour les adultes il est préférable de prendre la plante entière. Le nombre des plantes nécessaires pour aboutir à des estimations valables est inversement proportionnel à la densiTÉ de population; ces relations ont éTÉ traduites en graphiques pour 3 niveaux de précision de l'échantillonnage (10%, 15% et 20% de l'erreur standard). Dans les conditions des populations existantes il a éTÉ montré qu'un homme travaillant 40 heures/semaine pourrait recueillir et examiner un nombre suffisant d'échantillons pour obtenir une précision de 15%.