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INFLUENCE OF DIELDRIN ON CHEMOSENSORY RESPONSES IN SUSCEPTIBLE AND RESISTANT HOUSEFLIES
Author(s) -
SHARMA R. N.
Publication year - 1973
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1973.tb00261.x
Subject(s) - dieldrin , biology , toxicant , sucrose , insecticide resistance , microbiology and biotechnology , toxicology , toxicity , biochemistry , pesticide , medicine , agronomy
Median threshold responses of dieldrin‐treated susceptible and resistant houseflies to sucrose solutions were compared to determine the extent of functional derangement produced by the toxicant in the central nervous system. ED 50 values of sucrose were lowered below the level exhibited by untreated flies. The size of this effect depends on dose and length of exposure. The overall patterns of dieldrin‐induced alterations in chemosensitivity were similar in the two strains except for the difference in the doses of the insecticide required to produce these changes. This difference in doses corresponded well with the difference in the susceptibility levels of the two strains to dieldrin. Sublethal/asymptomatic doses of the insecticide also produced increased sensitivity to sucrose in the resistant flies after 4–8 hours' exposure. Résumé INFLUENCE DE LA DIELDRINE SUR LES RÉPONSES AUX STIMULI CHIMIOGUSTATIFS, CHEZ DES MOUCHES SENSIBLES ET RÉSISTANTES L'effet de la dieldrine sur le sysTÈme nerveux central à éTÉ comparé chez des mouches sensibles et des mouches résistantes en déterminant leur sensibiliTÉ limite à des solutions de sucrose, au cours des différentes phases de l'intoxication et avec différentes doses. Il y a une apparente identiTÉ du syndrome de l'intoxication dans les deux lots de mouches, qui se manifeste par une augmentation de la sensibiliTÉ chimiotactile, la seule différence résidant dans la dose d'insecticide nécessaire pour produire ces changements. Il faut approximativement 5000 fois la dose de dieldrine causant le premier accroissement appréciable de sensibiliTÉ au sucrose chez les mouches sensibles, pour produire des effets comparables chez les mouches résistantes. On peut conclure que dans chacun des lots de mouches la résistance à la dieldrine peut s'exprimer d'après ses effets sur le comportement d'extension réflexe du proboscis en réponse à une solution de sucrose. Il y a corrélation entre le degré d'accroissement de la sensibiliTÉ chimiotactile et l'intensiTÉ de l'intoxication, que celle‐ci soit produite par de fortes doses ou de plus longues expositions à de faibles doses. La sensibiliTÉ des mouches résistantes à une solution de sucrose est modifiée par des doses sublétales appliquées pendant un temps plus long, ce qui indique qu'un processus de restauration intervient.

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