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POLYGENIC REGULATION OF FECUNDITY IN AUTOGENOUS AEDES ATROPALPUS
Author(s) -
O'MEARA GEORGE F.
Publication year - 1972
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - English
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1972.tb02085.x
Subject(s) - biology , fecundity , subspecies , aedes , genetics , zoology , botany , larva , demography , population , sociology
Genetic regulation of autogenous fecundity was examined in the mosquito Aedes atropalpus. Only one of four subspecies was found to contain all the genetic factors needed to produce, without blood‐feeding, an average in excess of 150 eggs/female. This was the type form, A. a. atropalpus , which possessed the gene for autogeny ( A ) and a genetic background which enhanced fecundity. In contrast, strains of A. a. epactius, A. a. perichares and A. a. nielseni lacked both genetic systems. When the genome of A. a. atropalpus was progressively replaced by repeated crossing to the other subspecies, a stepwise decrease in autogenous fecundity was noted over several generations. However, this trend was stopped and in certain cases reversed by back‐crossing to the type form. Thus it appears that in the type‐form genome there are several modifier genes which enhance the expression of the gene A.RÉSUMÉ DÉTERMINATION POLYGÉNIQUE DE LA FÉCONDITÉ AUTOGENE CHEZ AEDES ATROPALPUS Aedes atropalpus dont l'aire d'extension s'étend du Labrador au Panama présentc quatre sous‐espèces, dont une seule, la forme‐type A. a. atropalpus , est autogène, les trois autres: A. a. epactius. A. a. perichares, A. a. nielseni étant anautogènes. Les femelles anautogènes sont homozygotes pour l'allèle récessif, a. Les hybrides F 1 issus de croisements entre les lignées autogènes et anautogènes sont autogènes, mais leur fécondité est réduite. Des croisements de retour répétés entre ces hybrides et les formes anautogènes aboutissent à une réduction progressive de la fécondité. Cependant cette réduction peut être stoppée et, dans certains cas, inversée par croisement de retour avec la forme‐type autogène. Ces faits conduisent à envisager que le génome des femelles de type autogène contient, outre le gène dominant A, un certain nombre de gènes modificateurs qui en renforcent l'expression. Les trois sous‐espèces anautogènes manqueraient de certains, sinon de tons ces gènes modificateurs. La réduction progressive de la fécondité chez les hybrides résulterait de la perte successive au cours des croisements de retour, de ces gènes modificateurs.

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