Premium
THE PHYSIOLOGY OF THE WOODLOUSE, PORCELLIO LAEVIS (PORCELLIONIDAE: PERACARIDA)
Author(s) -
ALIKHAN M. A.
Publication year - 1969
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1969.tb02524.x
Subject(s) - biology , anatomy
The histological structure of the glandula intestini in Porcellio laevis adults is described, and some of the characteristics of the caecal α‐glucosidase of this isopod are discussed. Evidence is presented to show that the vesiculated cells of the glandular caecum are true extrusion cells. The number of these cells in the caecal epithelium, under conditions of prolonged starvation, is shown to vary with the enzyme activity of the gland. The significance of these findings is discussed. RÉSUMÉ LA PHYSIOLOGIE DU CLOPORTE PORCELLIO LAEVIS (PORCELLIONIDAE, PERACARIDA) III — Une étude des rapports entre la production d'α‐glucosidase et la cytologie des glandula intestini La structure et la fonction des glandula intestini de Porcellio laevis sont décrites. Le rôle de l'épithélium coecal dans la sécrétion de l'α‐glucosidase est mis en évidence. L'épithélium uni‐stratifié qui forme les parois de chaque coecum glandulaire se subdivise en une région antérieure non sécrétrice et une région postérieure sécrétrice. La région non sécrétrice est formé uniquement de cellules de forme «cuboïdale», tandis que la région sécrétrice comporte quatre types distincts de cellules: des cellules columnaires, des cellules transitoires, des cellules de régénération et des cellules cupuliformes. La sécrétion d'α‐glucosidase est rythmique et de nature mérocrine. Une phase cyclique de transformations se manifeste dans les cellules de type columnaire, en rapport avec la sécrétion. Quelques‐unes des caractéristiques biochimiques de l'α‐glucosidase des coeca glandulaires sont discutées et des faits sont exposés, qui montrent que les cellules columnaires de type vésiculé de l'épithélium coecal sont les véritables cellules responsables de la sécrétion. Le nombre de ces cellules dans l'épithélium coecal, sous des conditions de jeûne prolongé, se révèle varier parallèlement avec l'activité enzymatique de la glande. La signification de ces observations est discutée.