Premium
FACTORS AFFECTING THE FEEDING OF FLEAS ( XENOPSYLLA CHEOPIS ROTHSCH.) THROUGH A MEMBRANE
Author(s) -
BARZEEV MICHA,
STERNBERG SHMUEL
Publication year - 1962
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1962.tb00565.x
Subject(s) - xenopsylla , biology , relative humidity , zoology , flea , physics , thermodynamics
Factors which affect the per cent feeding of starved X. cheopis through a “Silverlight” (trade name) membrane, were studied. Improved feeding was obtained under the following conditions: — 1) Pretreatment of the membrane by boiling in water for 3 hours or under 1.2 atm pressure for seven minutes. 2) Increasing the density of the fleas in the feeding apparatus (up to a certain level). 3) A blood temperature of 38°. 4) Ambient relative humidity of about 85%. 5) An undulate membrane surface. Females fed highly significantly better than males. Starved fleas, 5 or more days old, fed better than young ones. Under optimal feeding conditions, good results can be obtained with young starved fleas (2–3 days old). Various aspects of artificial feeding and the importance of the membrane texture and its permeability to vapor are discussed. Resume FACTEURS INFLUENÇANT LA NOURRITURE DE PUCES (XENOPSYLLA CHEOPIS ROTHSCH) A TRAVERS UNE MEMBRANE Une étude a été faite des facteurs influençant le nombre de puces ( X. cheopis ) affamées se nourrissant à travers une membrane “Silverlight” (nom commercial). Un pourcentage plus élevé a été obtenu dans les conditions suivantes: 1. Pré‐traitement de la membrane dans de l'eau bouillante pendant trois heures, ou sous pression de 1.2 atm. pendant 7 minutes; 2. Augmentation de la concentration des puces dans l'appareil (jusqu'à certain niveau); 3. Température du sang de 38°; 4. Humidité relative d'environ 85%; 5. Surface ondulée de la membrane. Le nombre des femelles qui se sont nourries a été beaucoup plus élevé que celui des mâles. Des puces affamées, agées de 5 jours ou plus, se nourrissent mieux que des jeunes. Sous des conditions optimales de bons résultats peuvent être obtenus avec des jeunes puces (2 à 3 jours). Divers aspects de l'alimentation artificielle, de l'importance de la texture de la membrane et de sa permeabilité à la vapeur sont discutés.