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MACHINE‐PLOTTING OF PHYTOGEOGRAPHICAL DATA
Author(s) -
SOPER JAMES H.
Publication year - 1966
Publication title -
canadian geographer / le géographe canadien
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.35
H-Index - 46
eISSN - 1541-0064
pISSN - 0008-3658
DOI - 10.1111/j.1541-0064.1966.tb00521.x
Subject(s) - humanities , art
RÉSUMÉ Cette communication constitue un rapport progressif sur une étude concernant l'utilisation des machines modernes et électroniques pour la classification des données sur la distribution des plantes indigènes de la province d'Ontario, Canada. De 1949 jusqu'à 1963, les données ont été classifiées manuellement dans un catalogue et plus de deux cents cartes de distribution, préparées aussi à la main, ont été publiées de temps à autre. Commençant en 1963, les données nouvelles furent produites sur une “Friden Flexowriter” qui est une machine àécrire électrique commandée par un ruban de papier perforé. Le premier résultat de cette opération est un document transcrit pour le catalogue; le second un ruban de papier perforé au moyen duquel on peut obtenir des copies additionelles du document; le troisième une fiche perforée de quatre‐vingt colonnes. Ces fiches forment les bases pour la cartographie automatique. Des exemples illustreront différentes cartes préparées par trois machines diverses. La machine “I.B.M. 407A” emploie les fiches perforées et produit une carte avec les signes imprimés régulièrement d'après les positions sur le gril. La machine “Hewlett Packard” emploie le ruban de papier perforé et produit une carte avec les signes imprimés dans toutes les positions désirées. La machine “Calcomp plotter” emploie le ruban magnétique et trace les contours, les symboles et le titre. On conduit maintenant des expériences pour tracer tout à la fois une carte aux échelles diverses employant les données mises en depôt dans la “mémoire” d'un cerveau électronique. Ces recherches permettent plusieurs applications possibles pour l'avenir, par exemple, i) la préparation des étiquettes pour les récoltes, ii) l'inventaire rapide des spécimens dans l'herbier, in) l'échange des données entre les herbiers et les musées, iv) la collaboration sur des proiets floristiques, v) les banques de données (“Data banks”), et vi) un service d'identification par machine.