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An Analysis of the Results of Treatment in Epileptics under Ambulatory Supervision
Author(s) -
FRANTZEN ESTHER
Publication year - 1961
Publication title -
epilepsia
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1167.1961.tb06230.x
Subject(s) - phenobarbital , medicine , epilepsy , psychomotor learning , ambulatory , phenytoin , pediatrics , anesthesia , electroencephalography , surgery , psychiatry , cognition
SUMMARY The results of treatment of epilepsy in 282 patients hospitalized and subsequently followed in an outpatient department are reported. In 45% the main type of seizure was grand mal, 19% had psychomotor attacks, 16% focal seizures and 9% petit mal. Phenobarbital, dilantin, various oxazolidine derivatives, mysoline and mesantoin were used. In one third of the patients the drugs produced side effects, in most cases of benign nature. The clinical effect was assessed for each type of seizure, regardless of the drug used. The best effect was found in patients with syncope (62% seizure‐free), the poorest results being found in patients with psychomotor (33% seizure‐free). The freedom from attacks obtained in the course of supervision was found to average 48.8% if all types of seizures were considered as a whole. There was a correlation for each seizure type between the frequency of seizures without medication and the response to medication. The fewer the spontaneous seizures, the greater was the chance of rendering the patient seizure‐free. From 4–8% of the patients had a normal EEG at the first examination. Clinical improvement of epilepsy was followed by complete or partial normalization of paroxysmal EEG abnormalities in 1/2–2/3 of the cases. There were however many instances, especially in patients with grand mal of aggravation in the paroxysmal abnormalities in the face of clinical improvement and vice versa.RÉSUMÉ Les résultats sont rapportés du traitement de 282 malades épileptiques observés en clinique, et suivis par la suite en policlinique. Dans 45% des cas, les accès étaient surtout du type grand mal, 19% des patients présentaient des crises psychomotrices, 16% des crises épileptiques focales, et 9% enfin étaient atteints de petit mal. Les préparations employées comportaient le phénobarbital, la phénytoïne, plusieurs dérivés d'oxazolidine, la mysoline et la mésantoïne. Des réactions médicamenteuses, dans la plupart des cas de nature bénigne, se produisirent dans un tiers des cas. L'effet thérapeutique fut déterminé pour chaque type d'accès, sans tenir compte de la médication employée. Le meilleur effet a été observé chez les malades présentant de (crises supprimées dans 62% des cas), le moins bon chez ceux présentant des crises psychomotrices (crises supprimées dans 33% des cas). De tous les malades, 48.8% se trouvaient libres de crises, si toutes les modalités de crise épileptique étaient considérées comme formant un ensemble. Pour chaque modalité il‐y‐avait une corrélation négative entre la fréquence des accès sans médication, et l'effet de la médication. D'autant moins fréquentes étaient les crises spontanées, d'autant plus grande était la probabilité de rendre le malade asymptomatique. De 4–8% des malades avaient un EEG normal au moment du premier examen. L'amélioration clinique de l'épilepsie a été suivie d'une normalisation partielle ou complète des anomalies paroxysmales de l'EEG dans 1/2–2/3 des cas. Il‐y‐avait cependant beaucoup d'exemples, particulièrement chez les malades atteints de grand mal, d'une aggravation des anomalies paroxysmales malgré l'amélioration clinique et vice‐versa.