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Long‐Term Ambulatory Cassette EEG with Sphenoidal Recording in Complex Partial Seizures
Author(s) -
Chu NaiShin
Publication year - 1991
Publication title -
epilepsia
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1157.1991.tb04663.x
Subject(s) - electroencephalography , ictal , epilepsy , temporal lobe , eeg fmri , anesthesia , audiology , medicine , psychology , neuroscience
Summary: Long‐term ambulatory cassette EEG with sphenoidal recording (A/EEG‐SP) was performed in 51 patients. Group A comprised 31 patients with a clinical diagnosis of complex partial seizures (CPS), and group B comprised 20 patients suspected of having CPS. In group A, detection of temporal spikes was 27% by routine EEG (R/EEG), 72% by sphenoidal EEG (SP/EEG), 27% by A/EEG with temporal chain montage, and 91% by A/ EEG‐SP. The highest yield achieved by A/EEG‐SP as compared with other EEG recordings was documentation of spontaneous seizures of temporal lobe origin. The detection rate of spontaneous seizures by A/EEG‐SP was ˜30%, and the focal or regional onset of seizures could be determined in 60% of patients. In group B, detection of temporal spikes was 11% by R/EEG, 18% by SP/EEG, and 30% by A/EEG‐SP. Spontaneous seizures were recorded by A/EEG‐SP in two patients (10%). Thus, A/ EEG‐SP was more effective than A/EEG in detecting interictal and ictal temporal discharges, and A/EEG‐SP was superior to SP/EEG in documenting spontaneous seizures of temporal lobe origin. RÉSUMÉ Les auteurs ont pratiqué des enregistrements EEG ambulatoires de longue durée avec enregistrements sphénoïdaux (A/EEG‐SP) chez 51 patients. Dans le groupe A, ils ont classé 31 patients présentant un diagnostic clinique de crises partielles complexes, dans le groupe B 20 patients suspects de présenter des crises partielles complexes. Dans le groupe A, la détection de pointes temporales n'était que de 27% par ľEEG de routine, 72% par ľEEG avec électrodes sphénoïdales, 27% par ľEEG ambulatoire de surface, et 91% par ľEEG ambulatoire avec électrodes sphénoïdales. Ce dernier résultat a été obtenu grâce à la documentation de crises spontanées ďorigine temporale. Le taux de détection de crises spontanées par cette technique a étéďenviron 30%, et le début focal ou régional des crises a pu être déterminé dans 60%. Dans le groupe B, la détection des pointes temporales a été de 11% par ľEEG de surface, 18% par ľEEG avec électrodes spheanoïdales, et 30% par ľEEG ambulatoire avec électrodes sphénoïdales. Les crises spontanées ont été enregistrées par cette dernière technique chez 2 patients (10%). Les auteurs concluent que ľA/EEG‐SP a été plus efficace que ľA/EEG dans la détection des décharges intercritiques et critiques ďorigine temporale, et que ľA/EEG‐SP a été supérieur àľEEG de surface avec électrodes sphénoïdales pour la documentation des crises spontanées ďorigine temporale.