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Social Prognosis in Epilepsy Especially in Regard to Social Status and the Necessity for Institutionalization
Author(s) -
JANZ D.
Publication year - 1972
Publication title -
epilepsia
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1157.1972.tb04561.x
Subject(s) - institutionalisation , epilepsy , incidence (geometry) , medicine , pediatrics , psychiatry , psychomotor learning , psychology , cognition , physics , optics
SUMMARY Investigations as to the necessity for institutionalization and the changes in social status were performed in 1965, covering all patients who had been seen for the first time in 1953, 1957 and 1961. During this follow‐up period 8% of 728 patients had to be temporarily and 2.5% presumably permanently institutionalized. Among the reasons for temporary admission were mostly acute complications (increased frequency of seizures, post‐ictal clouded states, acute psychoses). Among the reasons for permanent admission one found mainly irreversible mental changes (dementia). Among 432 patients who were in an employable age group 86% were employed at the time of follow‐up and 15 % were unemployed. Among the 400 patients who were employed at the time they entered treatment 93% had remained employed by 1965, while 7% had become unemployed, pensioned or been referred to an institution. Ninety percent had not changed their type of employment during the follow‐up period, 3% had improved their social status, while 8% had deteriorated in this respect. The positive versus negative development correlated with seizure frequency and the type of illness. Most of the patients who had risen socially had become seizure‐free or shown marked improvement in seizure frequency, while in the cases of social decline, among whom one found in the majority a combination of major seizures and of psychomotor attacks, there was frequently an increased incidence of seizures as compared with the incidence at the onset of treatment. RÉSUMÉ En 1965 des recherches ont été entreprises sur la nécessité des admissions aux institutions et sur les modifications de l'état social des épileptiques, en se basant sur l'étude de tous les sujets qui ont été vu pour la première fois, respectivement en 1953, 1957 et 1961. Pendant cette période de contrôle, sur 728 patients, 8% ont été temporairement admis dans un établissement et 3% d'une façon probablement définitive. Les raisons qui ont motivé l'admission temporaire étaient en grande partie dues à des complications aiguës (augmentation des crises, trouble post‐critique de la conscience, psychoses aiguës). Les raisons d'une admission définitive étaient représentées par des troubles mentaux irréversibles (dementia). Parmi les 432 patients qui étaient en âge d'avoir un emploi, 86% avaient un travail et 15% n'en avaient pas. Parmi les 400 patients qui étaient employés au moment du début du traitement, 93% avaient gardé en 1965 leur emploi, tandis que 7% l'avaient perdu, étaient à la retraite ou avaient été transférés dans un établissement. 90% n'ont pas changé d'emploi pendant la période de contrôle; 3% ont amélioré leur condition sociale alors que 8% l'ont détériorée, ceci étant en relation avec la fréquence des crises et le type de la maladie. La grande majorité des sujets qui se sont élevés dans l'échelle sociale n'avaient plus de crises ou en avaient beaucoup moins; les autres au contraire qui avaient dégradé leur condition sociale, avaient pour la plupart des crises majeures (major seizures) et des crises de type psychomoteur, plus nombreuses qu'avant le début du traitement.

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