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A comparative study of the action of Actinomycin D and Actinomycinic ACID on the central nervous System when Injected into the Cerebrospinal Fluid of higher Animals
Author(s) -
TAIRA M.,
KOJIMA K.,
TAKEUCHI H.
Publication year - 1972
Publication title -
epilepsia
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1157.1972.tb04400.x
Subject(s) - cerebrospinal fluid , dose , hippocampal formation , cats , central nervous system , anesthesia , medicine , chemistry , endocrinology , pharmacology
SUMMARY The aim of this study was to compare the action of actinomycin D and of actinomycinic acid on the central nervous system of higher animals. When actinomycin D, which interacts with DNA, was injected in a dosage of 0.025 mg into the cerebrospinal fluid of dog, 33 of 42 animals developed generalized convulsions after a latency of several days (mean 89.5 ± 10 hours). In the pre‐convulsive period, the dogs presented tremors, myoclonic jerks and locomotor movements. In the convulsive period, generalized tonic‐clonic convulsions and locomotor motions occurred repeatedly for more than 24 hours. After the repeated convulsions the animals died. This substance is so toxic that its lethal dose is only one fourth of the convulsive dose. When actinomycinic acid, which is similar in molecular structure to actinomycin D but never interacts with DNA, was injected in dosages of 0.1–0.013 mg into the cerebrospinal fluid of dogs, the animals showed no abnormal behaviour, and all survived. When actinomycin D was injected in dosages of 0.008–0.031 mg into the cerebrospinal fluid, convulsive electrical activity was produced in the cat. Sometimes the spike discharges appeared in all the areas of the brain recorded from; they were especially frequent in the hippocampal region. After the injection of actinomycinic acid in dosages of 0.008–0.031 mg into the cerebrospinal fluid, the cats showed no electroencephalographic abnormalities and always survived. RESUME Le but de cette étude était de comparer l'effet de l'actinomycine D et de l'acide actinomycinique sur le système nerveux central des animaux supérieurs. Quand l'actinomycine D, dont l'action interfère avec celle de l'ADN, était injectée à une dose de 0.025 mg dans le liquide céphalorachidien du chien, sur 42 animaux 33 développaient des convulsions généralisées avec une latence de plusieurs jours (en moyenne 89.5 ± 10 heures). Dans la période préconvulsive, les chiens présentaient des tremblements, des secousses myocloniques et des mouvements locomoteurs. Dans la période convulsive, des convulsions tonico‐cloniques généralisées et des mouvements locomoteurs survenaient de façon répétée pendant plus de 24 h, après quoi les animaux mouraient. La toxicité de cette substance est telle que sa dose léthale est seulement le quart de la dose convulsive. Quand l'acide actinomycinique, qui est semblable dans sa structure moléculaire à l'actinomycine D mais qui n'interfère jamais avec l'ADN, était injectéà des doses de 0.1–0.013 mg dans le liquide céphalorachidien des chiens, les animaux ne présentaient aucune anomalie de comportement et tous survivaient. Quand l'actinomycine D était injectée chez le chat, à des doses de 0.008–0.031 mg, dans le liquide céphalo‐rachidien, une activité convulsive électrique apparaissait. Quelquefois, les décharges de pointes intéressaient toutes les aires cérébrales enregistrées mais elles étaient plus fréquentes dans la région hippocampique. Après l'injection d'acide actinomycinique à des doses de 0.008–0.031 mg dans le liquide céphalo‐rachidien, les chats ne présentaient aucune anomalie électroencé‐phalographique et survivaient toujours.

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