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EPILEPTIC PRISONERS AND THEIR DRINKING PROBLEMS
Author(s) -
Gunn John
Publication year - 1972
Publication title -
epilepsia
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1157.1972.tb04386.x
Subject(s) - imprisonment , prison , epilepsy , psychiatry , psychology , population , medicine , criminology , environmental health
SUMMARY A census of the prison population in England and Wales suggested a prison prevalence for epilepsy of at least 7.2/1000 men. This is higher than expected. It is possible that a higher prevalence of epilepsy among prisoners is related to the known association between alcoholism and imprisonment. To check this, when an interview survey of prisoner epileptics was carried out, alcoholic symptoms and habits were also enquired about, and compared with similar data collected on a non‐epileptic control group. No significant difference between the groups was detected in respect of alcoholism, furthermore there were no significant relationships between the degree of violence used in the offence leading to imprisonment and alcoholic symptomatology, but there was a relationship between the number of previous violent convictions and both the intake of drink and having a previous drunkenness offence on the record. The findings perhaps lend support to a previous suggestion that there is disparity between the alcoholic's likelihood of being convicted of a violent offence and his dangerousness during such an offence. There is no evidence to suggest that the raised prevalence of epilepsy in English prisons is a byproduct of alcoholism. RESUME Une enquête sur la population des prisons d'Angleterre et, du Pays de Galles a mis en évidence une prévalence de l'épilepsie d'au moins 7.2/1000. Ces valeurs sont plus élevées que celles auxquelles on pouvait s'attendre. Il est possible que cette plus haute prévalence de l'épilepsie parmi les prisonniers soit en relation avec l'association bien connue entre alcoolisme et emprisonnement. Pour contrôler cette hypothèse, lors d'une enquête chez les prisonniers épileptiques on a recueilli également des informations sur les symptômes et les habitudes en relation avec l'alcoolisme et on a comparé ces données avec celles recueillies dans un groupe de contrôle de sujets non‐épileptiques. On n'a pas observé de différences significatives entre les deux groupes en ce qui concerne l'alcoolisme; de même il n'y avait pas de relations entre la gravité de l'alcoolisme et la violence de l'acte ayant conduit à la prison. Il y avait cependant une relation entre le nombre de récidives d'actes violents et à la fois la gravité de l'alcoolisme et l'existence antérieure d'actes illégaux commis en état d'ivresse. Ces données peuvent être en faveur de l'hypothèse connue qu'il y a une disproportion entre la probabilité pour un alcoolique d'être arrêté pour des actes violents et la gravité de ces actes. Rien ne permet d'avancer que la prévalence élevée de l'épilepsie dans les prisons anglaises soit une conséquence de l'alcoolisme.

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