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Psychological and Neurological Comparisons of Psychomotor and Non‐Psychomotor Epileptic Patients
Author(s) -
MIG R. J.,
DONNELLY E. F.,
Sadowsky Doris
Publication year - 1970
Publication title -
epilepsia
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1157.1970.tb03902.x
Subject(s) - psychomotor learning , psychology , epilepsy , psychiatry , pediatrics , minnesota multiphasic personality inventory , psychosis , medicine , personality , cognition , social psychology
SUMMARY Piospective ( N =38) and retrospective ( N = 113) samples of epileptics were selected from those adolescent and adult patients investigated between 1959–1969 at the National Institute of Neurological Diseases and Stroke. None were handicapped by mental retardation, neurological deficits or by ongoing neurological or medical illness. EEGs and seizures were unequivocal. Clinical and psychological and laboratory data were analyzed by t‐test, Chi‐square and analysis of variance to look for differences between psychomotor and non‐psychomotor epileptics. Of special interest were the controversial issues of psychosis, schizophrenia, aggressive impulsivity, sexual dysfunction, and affective disorder. With a few exceptions, no significant differences were found. In addition, the same data were used to evaluate the importance of the following for the psychomotor epileptics alone: laterality of the temporal lobe EEG focus, bilaterality vs. unilaterality of EEG focus, presence or absence of generalized convulsive seizures. Except for a few items, none was significantly distinguished. The entire epileptic sample, however, was significantly different by MMPI from a (control) group of 10,049 college students reported in the literature, and by clinical psychiatric data from expected random occurrence. RÉSUMÉ Parmi les patients adolescents et adultes étudiés entre 1959 et 1969 au National Institute of Neurological Diseases and Stroke on a sélectionné des groupes 'épileptiques qui ont étéétudiés les uns de facon prospective ( N= 38) et les autres de façon rétrospective ( N =113). Aucun de ces sujets ne présentait de retard mental, ni de déficits neurologiques ni de maladie neurologique ou médicale en cours. Les E.E.G. et les crises étaient incontestables. On a étudié les données cliniques, psychologiques et de laboratoire en employant le t‐test, chi‐square et 'analyse de variance pour chercher les différences entre les épileptiques présentant ou non une épilepsie psychomotrice. 'un intérêt tout particulier était les sujets contreversés concernant la psychose, la schizophrénie, les impulsions aggressives, les troubles sexuels et le desordre affectif. A quelques exceptions près on n'a pas trouvé de différences significatives entre les deux groupes. De plus, les memes données ont été utilisées chez les épileptiques psychomoteurs pour évaluer 'importance des facteurs suivants: la latéralisation du foyer E.E.G. sur lobe temporal, les problèmes de la bilatéralité vs. unilatéralité du foyer E.E.G., la présence ou 'absence de crises convulsives généralisées. Mis à part quelques éléments, on n'a pas retrouvé de facteurs bien significatifs. Cependant le groupe des épileptiques dans son ensemble eatait différent de façon significative, suivant les MMPI, 'un groupe de contrôle de 10,049 étudiants de collèges (rapporté dans la littérature) et suivant les données de la clinique psychiatrique 'une population prise au hasard.

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