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Some Relationships of Induced Seizure Patterns to Clinical Findings in Epileptic Patients
Author(s) -
RODIN E. A.
Publication year - 1964
Publication title -
epilepsia
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1157.1964.tb04342.x
Subject(s) - epilepsy , tonic (physiology) , epileptic seizure , psychology , frontal lobe , temporal lobe , grand mal , medicine , electroencephalography , neuroscience , pediatrics , audiology
SUMMARY1 The photographed patterns of megimide‐induced seizures obtained in 57 epileptic patients were coded and correlated against clinical variables on an IBM‐704 computer. 2 Automatic data analysis confirmed that the “nonfocal” or “centrencephalic” grand mal seizure occurs in a patient who has an otherwise intact central nervous system. 3 Differences in the position of the arms during the tonic phase of the induced seizure have clinical significance. If the patient keeps his arms flexed across the chest and the hands are clenched in fists it is likely that the patient has a focal seizure disorder which has often temporal lobe components. The patients frequently have impaired intelligence. 4 Patients with severe long standing focal and diffuse cerebral disease processes frequently give atypical grand mal seizures as a result of megimide activation. These last longer than the classic grand mal but consist usually either of the tonic phase only, or less frequently of clonic activity without preceding tonic phase. They have been termed in this study grand mal variants. 5 These correlates were subsequently looked for on another sample of 50 epileptic patients whose seizures had been photographed, and were found to be correct. They are, therefore, not artifacts from the multivariant statistical procedure. 6 The induction of a seizure in the laboratory and its documentation by photography is a useful research technique. If megimide activation is used for diagnostic purposes it is imperative that the induced attack is identical with the spontaneous one in order to allow a diagnosis of epilepsy to be made. Thresholds for seizure‐induction can show too much overlap between normals and epileptics and are, therefore, not a‐reliable differential diagnostic criterion.RÉSUMÉ1 Les “patterns” photographiés de crises provoquée par le Mégimide, obtenues chez 57 malades épileptiques, ont été codés et mis en corrélation avec des variables cliniques, sur un ensemble electronique IBM 704. 2 L'analyse automatique des dates a confirmé que les crises de grand mal “non focales” ou “centrencéphaliques” se produisent chez un malade dont le système nerveux central est intact par ailleurs. 3 Des différences de positions des bras pendant la phase tonique de la crise provoquee sont de signification clinique. Si le patient tient ses bras en flexion en travers de la poitrine et que ses mains soient serrées à poings fermés, il est probable que le malade a une épilepsie focale, qui contient fréquemment des composants temporaux. L'intelligence de ces malades est souvent détériorée. 4 Les sujets ayant, de longue date, des procès pathologiques cérébraux focaux et diffus présentent fréquemment des crises atypiques de grand mal en résultat d'une activation par le Mégimide. Ces crises durent plus longtemps que le grand mal classique mais consistent habituellement soit en une phase tonique seulement, soit, moins fréquemment, en une activité clonique non précédé d'une phase tonique. On les qualifie, dans la présente étude, de “grand mal variants”. 5 Ces corrélations ont été observées ensuite sur un autre groupe de 50 patients épileptiques dont les crises avaient été photographiées, et elles se sont montrées correctes. Ce ne‐sont done point des artefacts de la méthode statistique multivariante. 6 La provocation de la crise dans le laboratoire et sa documentation photographique forment une recherche technique utile. Si l'activation par le Mégimide est appliquée dans des buts diagnostiques, il est obligatoire que l'attaque provoquée soit identique à une attaque spontanée pour que Ton puisse se permettre de poser un diagnostic d'épilepsie. Les seuils de provocation de crises peuvent présenter trop de chevauchement entre les sujets normaux et les épileptiques et ne sont point, par conséquent, un critère de diagnostic différentiel digne de confiance.

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