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Frequency of Recurrence after Discontinuance of Anti‐convulsant Therapy in Patients with Epileptic Seizures
Author(s) -
JUULJENSEN P.
Publication year - 1964
Publication title -
epilepsia
Language(s) - English
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1157.1964.tb03341.x
Subject(s) - epilepsy , anticonvulsant , medicine , anesthesia , pediatrics , atrophy , psychiatry
SUMMARY After a seizure‐free period of at least two years, anticonvulsant therapy was withdrawn in 200 patients who had previously had epileptic seizures. A follow‐up study revealed that the seizures had recurred in 35% during the 2 years and in 36.5% during the 4 years after commencement of withdrawal. Of the recurrences, 50% were seen in the period of withdrawal (normally lasting 2–3 months), and most of the remaining cases were encountered within the first year after the commencement of withdrawal, i.e. a period during the greater part of which no medication at all was given. It is not possible to set up clear criteria for the withdrawal; but the analysis shows that the presence of slow‐activity foci or bilateral paroxysms increases the risk of recurrence. It was also found that the frequency of recurrence increases with the age at the onset of epilepsy. Epilepsy of known pathogenesis involves a slightly increased risk of recurrence, whereas the type of epilepsy, its severity before the withdrawal, the length of the period of withdrawal and the presence of atrophy in pneumoencephalography are of no importance. It is concluded that withdrawal of anticonvulsant therapy should be contemplated only in very suitable cases. RÉSUMÉ La therapeutique anti‐convulsivante a été diminuée et enfin interrompue chez 200 épileptiques apès qu'ils soient demeurés au moins deux ans sans crise sous son effet. Les crises sont réapparues chez 35% d'entre eux dans les deux ans suivant le commencement de la diminuation de la médication. Dans la moitié des cas les crises sont réapparues pendant la période de sevrage proprement dite, qui dure normalement de 2 à 3 mois; dans la plupart des autres cas elles sont réapparues pendant la première année après le commencement de la diminuation de la médication. II est impossible de préciser les conditions qui permettraient de décider du moment optimum pour l'interruption du traitement chez un épileptique. II nous est cependant apparu que la présence d'activités lentes focalisées ou de paroxysmes bilatéraux sur l'E.E.G. doivent faire craindre une réapparition des crises après l'arrêt du traitement. II nous a également semblé que le risque de voir les crises réapparaître augmentait avec l'âge du sujet au moment du début de son épilepsie. Par contre le type de l'épilepsie, sa sévérité, l'existence d'une atrophie cérébrale visible sur la pneumoencéphalographie et la durée de la période de sevrage ne semblent jouer aucun rôle. De ce qui précède on peut tirer la conclusion que l'interruption de la thérapeutique anti‐convulsivante chez les épileptiques ne doit être envisagée que dans des cas très appropriés.

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