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Mental and Seizure Manifestations in Relation to Brain Tumors A Statistical Study
Author(s) -
GÜVENER A.,
BAGCHI B. K.,
KOOI K. A.,
CALHOUN H. D.
Publication year - 1964
Publication title -
epilepsia
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1157.1964.tb03324.x
Subject(s) - medicine , epilepsy , temporal lobe , frontal lobe , psychology , pediatrics , psychiatry
SUMMARY Three hundred and twenty‐six supratentorial tumors excluding metastatic lesions have been studied statistically to discover interrelationships between different variables: patients' mental changes, seizures, increased intracranial pressure, tumor type, broad and fine location. Glioblastomas multiformes are more commonly associated with mental changes and less with seizures than astrocytomas, oligodendrogliomas and meningiomas. Strategic location of the tumor also plays an important role. Close to 50% of brain tumors produce seizures and mental aberrations. Increased intracranial pressure per se is not significantly related to the latter; but it is related to seizure phenomenon only in some locations. Deep midline and paramidline tumors as a group produce seizures much less than tumors in the hemisphere with or without deep extension. About one‐fourth and one‐third of temporal lobe tumors have temporal lobe seizures or no seizures respectively. One‐eighth of parietal and parieto‐occipital tumors and about half of frontal tumors excluding motor‐parietal areas produce grand mal seizures. Individual exceptions need to be considered, also, 46 non‐significant relationships out of 71 relationships investigated. RÉSUMÉ Trois cent vingt‐six tumeurs supratentorielles, parmi lesquelles des lésions métastasiques étaient exclues, ont fait l'objet d'études statistiques envisageant le but de découvrir des relations mutuelles entre les différentes variables: changements mentaux des malades, crises, pression intracrânienne augmentée, type de tumeur, localisation globale et précise. Des glioblastomes multiformes sont plus souvent associés à des changements mentaux et en moindre mesure avec des crises que des astrocytomes, oligodendrogliomes et méningiomes. La localisation de la tumeur joue aussiun rôle important. Près de 50 % des tumeurs cérébrales provoquent des crises et des aberrations mentales. Une augmentation de la pression intracrânienne n'est pas en relation, de façon significative, avec ces derniers cas; mais elle est à rapporter au phénomène crise dans certaines localisations. Le groupe des tumeurs médianes et paramédianes produit bien moins de crises que des tumeurs dans l'hémisphère avec ou sans extension en profondeur. A peu près un quart et un tiers des tumeurs du lobe temporal ont des crises du lobe temporal ou, respectivement, pas de crises. Un huitième des tumeurs pariétales et pariéto‐occipitales et la moitié environ des tumeurs frontales à l'exclusion de l'ère moto‐pariétale provoque des crises de grand mal. Des exceptions individuelles sont à considérer et, de même, 46 relations non significatives parmi les 71 relations qui ont étéétudiées.