z-logo
Premium
The Incidence and Prevalence of Convulsive Disorders in a Small Urban Community
Author(s) -
KURLAND LEONARD T.
Publication year - 1959
Publication title -
epilepsia
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1157.1959.tb04256.x
Subject(s) - incidence (geometry) , medicine , psychiatry , pediatrics , epilepsy , optics , physics
SUMMARY AND CONCLUSIONS 1. Population statistics have been presented for recurrent convulsive disorders in the residents of Rochester, Minnesota, U.S.A. for the 10 years, 1945–1954, inclusive. The records of the Mayo Clinic were the source of the case reports. Although it is believed that the large majority, if not all, of local residents with diagnosed convulsive disorder were included in the survey, the computed rates must still be considered as minimal values. 2. The cases were classified by symptomatic type as follows: grand mal, petit mal, focal seizures including temporal lobe and psychomotor, and miscellaneous seizures. Febrile convulsions are dealt with separately. 3. A number of statistical considerations affecting the collection and analysis of comparative population data were reviewed. 4. During the 10 years 336 local patients were observed by Mayo Clinic physicians for seizures. Of these 194 were clinically acceptable and form the basis for the appropriate incidence and prevalence rates. Among the other patients 41 were classified as “suspect” only, and 101 with febrile convulsions. 5. For the recurrent convulsive disorders, as defined, the average annual incidence rate age‐adjusted to the U. S. population is about 31 per 100,000 per year. If these statistics can be applied to the U. S. population, about 52,000 persons are newly affected each year. 6. The incidence rates are higher for males than for females for all types of seizures combined and for most of the individual categories. 7. The incidence rate for primary grand mal is highest in infancy and early childhood and decreases rapidly after adolescence; the same is noted for the petit mal cases. The secondary grand mal and focal seizure groups show their highest incidence rates at the extremes of the age scale. Abnormalities relating to birth and development in infancy were presumably responsible for the high rate in childhood whereas toxic (alcoholic) vascular disease and brain tumor were considered important precipitating factors in the older age group. 8. The prevalence rate for all types of epilepsy age‐adjusted to the United States population is 376 per 100,000 population. If these data can be applied to the total U. S. population, about 640,000 individuals are subject to recurrent convulsive disorders. 9. The prevalence rate is higher for males than for females. In contrast to the age‐specific incidence rates, the prevalence rate does not rise sharply at the extremes of age and, in fact, decreased in old age. This is due in large part to the poor survival experience of these infants with seizures which are associated with congenital defects or birth injury, and of the older adults with cerebral vascular diseases and tumor. 10. Although the resident population is somewhat small to yield stable rates for subgroups by age, sex and type for the disorders described in this report, the survey is believed to provide a more accurate picture of the frequency of epilepsy in a specific community population than heretofore available. RÉSUMÉ ET CONCLUSIONS 1. La récurrence des troubles convulsifs a étéétudiée à l'appui de statistiques de la population pour les habitants de Rochester dans l'Éetat de Minnesota aux États‐Unis durant les 10 années de 1945 à 1954, inclus. La documentation relative auxcas étudiés a été puisée dans les fiches de la Mayo Clinic. Bien que l'on croie que la grandé majorité, sinon la totalité des habitants de cette localité chez lesquels des troubles convulsifs ont été diagnostiqués, ont ete repris dans cette étude, les chiffres obtenus doivent cependant encore etre considérés comme des minima. 2. Les cas ont été classés par type symptomatique dans les catégories suivantes: haut mal, petit mal, convulsions focales, y compris l'épilepsie du lobe temporal et Pepilepsie psychomotrice, et enfin les convulsions diverses. Les convulsions fébriles ont été traitées à part. 3. Diverses considérations statistiques affectant le rassemblement et l'analyse des donnees comparatives concernant la population ont été passées en revue. 4. Pendant les 10 années en question, 336 patients de cette localité ont été pris en observation par les médecins de la Mayo Clinic pour des troubles convulsifs. Parmi ces malades, 196 ont été reconnus cliniquement acceptables et ce sont ces derniers qui ont servi de base aux calculs des coefficients d'apparition et de fréquence générate des troubles convulsifs. Parmi les malades restants, 41 furent classés simplement comme “suspects” et les 101 derniers furent rangés dans la categorie des convulsions fébriles. 5. En ce qui concerne les troubles convulsifs récurrents, tels qu'ils sont definis, le coefficient d'apparition moyen rapportéà l'âge pour la population des États‐Unis s'élève à environ 31 par 100.000 habitants et par an. Sil'on applique ce chiffre à la population totale des États‐Unis, cela voudrait dire qu'environ 52.000 nouveaux cas se produisent chaque année. 6. Les coefficients d'apparition sont plus élevés pour les sujets du sexe mâle que pour ceux du sexe féminin et cela pour l'ensemble de tous les types de convulsions ainsi que dans la plupart des diverses catégories. 7. Le coefficient d'apparition du haut mal généralisé d'emblée est le plusélevé chez les nourrissons et les jeunes enfants et il diminue rapidement après l'adolescence; il en est de même en ce qui concerne les cas de petit mal. Les coefficients d'apparition des attaques de haut mal secondaire et des convulsions focales ont été les plus elévés aux extrêmes de l'échelle des catégories d'âge. Les coefficients élevés que Ton a constatés chez les enfants sont probablement dûs à des phénomènes anormaux lors de la naissance ou lors du développement au cours du premier âge, tandis que les affections vasculaires d'origine toxique (alcoolique) et les tumeurs du cerveau sont à considérer comme des facteurs précipitants importants dans les categories d'âges superiéures. 8. Le coefficient de fréquence générale pour tous les types d'épilepsie, rapporte à l'âge pour la population des États‐Unis s'est éléve à 376 par 100.000 habitants. Si ce chiffre peut être appliquéà l'ensemble de la population des États‐Unis, cela voudrait dire qu'environ 640.000 individus sont sujets à des troubles convulsifs récurrents. 9. Le coefficient de fréquence générale est plus élevé pour les sujets du sexe mâle que pour les sujets du sexe féminin. Contrairement au coefficient d'apparition spécifique d'aprèsl'âge, le coefficient de fréquence générale ne présente pas d'augmentation marquée aux extrêmés de l'échelle des catégories d'âge et diminue en fait chez les sujets âges. Ceci est dû pour une large part au faible taux de survivance des nourrissons atteints de convulsions en rapport avec des malformations congénitales ou avec des traumatismes à la naissance; il en est de même en ce qui concerne les adultes d'un certain âge qui sont atteints d'affections vasculaires ou de tumeurs du cerveau. 10. Bien que la population de la localité en question ne soit relativement pas assez importante pour que l'on puisse en déduire des coefficients stables pour les sous‐groupes par âge, par sexe et par type pour les troubles décrits dans ce rapport, l'auteur pense cependant que cette étude donne un tableau plus exact de la fréquence de l'épilepsie dans la population d'unecommunauté spéciflque, que les renseignements dont on disposait jusqu'à présent.

This content is not available in your region!

Continue researching here.

Having issues? You can contact us here