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Standing Potential Characteristics of the Epileptogenic Focus
Author(s) -
MAHNKE JAMES H.,
WARD ARTHUR A.
Publication year - 1961
Publication title -
epilepsia
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.687
H-Index - 191
eISSN - 1528-1167
pISSN - 0013-9580
DOI - 10.1111/j.1528-1157.1942.tb00408.x
Subject(s) - pneumoencephalography , electroencephalography , citation , medicine , neuroscience , psychology , medical physics , computer science , library science
SUMMARY AND CONCLUSIONS In two of four monkeys with experimental focal cortical epilepsy the following observations were made: The areas displaying the epileptoid spiking were characterized by negative standing potentials of 7 and 9 mV relative to contralateral normal areas. One of the two animals displayed a voltage gradient of 1 mV/mm for 5 mm along central sulcus in the injected area, with very amplitude surface‐negative spiking at the area of peak negativity. The two other experimental animals and the two controls failed to produce electrographic spiking at the time of acute experiment or display standing potential offsets of the magnitude observed in the two with spiking. It is proposed that an abnormal negative standing potential is the most characteristic electrical property of an epileptogenic focus. This area would act as a current sink, with current flow across contiguous tissue producing hyperexcitability. The mechanism of paroxysmal discharge might involve the interaction of natural excitability cycles of neuron populations, at sites in the circumference of the “focus”, with this abnormal current flow. Unstable oscillations at some level of neuronal integration may then occur, with positive feedback resulting in the paroxysmal discharge of the epileptic seizure. RÉSUMÉ ET CONCLUSIONS L'auteur fait les observations suivantes sur deux des quatre singes ayant une épilepsie focale expérimental: les régions dans lesquelles se produisirent les pointes épileptoïdes ont été caractérisées par des potentiels continus négatifs de 7 à 9 mV relativement aux régions contralatérales normales. L'un des deux animaux a atteint un gradient de voltage de 1 mV/mm sur 5 mm le long de la scissure centrale dans la région injectée, avec des pointes négatives de surface de grande amplitude dans la région des pointes négatives. Les deux autres animaux d'expérience et les deux témoins n'ont pas donné de pointes électrographiques lors de l'expérience à brève échéance abrupte, et n'ont montré non plus des potentiels continus de měme importance comme observés chez les deux singes qui montraient des pointes. L'auteur propose d'admettre qu'un potentiel continu négatif est l'attribut électrique le plus caractéristique d'un focus épileptogène. Il est possible que cette région agisse comme un évier de courants avec écoulement de courant du tissu contigu produisant de l'hyperexcitabilité. Le mécanisme de décharge paroxysmale peut impliquer l'interaction des cycles d'excitabilité d'agglomérations neuronales situées dans la circonférence du focus par cet écoulement anormal de courant. Il se peut que des oscillations instables se produisent alors à un niveau quelconque d'intégration neuronale, avec un “feedback” positif dont résulte la décharge paroxysmale de la crise épileptique.