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Digit Memory and Evoked Discharges in Four Light‐Sensitive Epileptic Children
Author(s) -
Hutt S. J.,
Lee D.,
Ounsted Christopher
Publication year - 1963
Publication title -
developmental medicine and child neurology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 1.658
H-Index - 143
eISSN - 1469-8749
pISSN - 0012-1622
DOI - 10.1111/j.1469-8749.1963.tb10721.x
Subject(s) - psychology , stroboscope , recall , audiology , epilepsy , developmental psychology , humanities , medicine , neuroscience , cognitive psychology , philosophy , physics , optics
SUMMARY A study was carried out to investigate whether evoked bioelectric paroxysms, not accompanied by clinical seizures, may have an effect on recall of a preceding event. Four children under investigation for learning difficulties associated with epilepsy were examined. All four children produced paroxysmal discharges in response to certain frequencies of stroboscopic stimulation but not to others. The children were presented with series of digits before stroboscopic stimulation and were required to recall them after stroboscopy. Two children regularly showed impairment of recall whenever bioelectric paroxysms were evoked by stroboscopy, in contrast with two other epileptics who, under similar conditions, did not. None of the children showed impaired recall of digits when the digits were followed by stroboscopy at a frequency which did not evoke paroxysmal discharges. It is suggested that at least two physiological sub‐systems are required to account for our results. The theoretical implications and methodological considerations are discussed. Réasuméa La mémoire des chiffres et les décharges évoquées chez quatre enfants épileptiques photo‐sensibles L'objet de cette étude était de savoir si faire apparaitre un paroxysme bioélectrique non accompagné de crise clinique peut avoir un effet sur le rappel d'un évènement précédent. Les quatre enfants examinés étaient en observation à cause de leurs difficultés pour l'étude associées à l'épilepsie. Tous les quatre ont présenté des décharges en clocher en réponse à certaines fréquences de stimulation stroboscopique, mais non à d'autres. La technique consiste à montrer aux enfants une série de chiffres avant stimulation stroboscopique et à leur demander de s'en rappeler après stroboscopie. Deux enfants ont montré régulièrement une altération du rappel chaque fois qu'on faisait apparaitre par stroboscopie les clochers subcliniques. Par contre deux autres épileptiques ne présentaient dans les mêmes conditions aucune détérioration du rappel. Aucun des enfants n'a présenté de perturbation du rappel des chiffres lorsque les chiffres étaient suivis par stroboscopie à une fréquence qui ne faisait pas apparaitre de décharge en clocher. L'auteur suggère que deux sub‐systèmes physiologiques au moins sont nécessaires pour expliquer ses résultats. Les implications théoriques et considérations méthodologiques sont discutées.