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Context and the spelling‐to‐sound regularity effect in pronunciation
Author(s) -
Parkin Alan J.,
Llett Alison
Publication year - 1986
Publication title -
journal of research in reading
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 1.077
H-Index - 51
eISSN - 1467-9817
pISSN - 0141-0423
DOI - 10.1111/j.1467-9817.1986.tb00108.x
Subject(s) - pronunciation , linguistics , sentence , spelling , psychology , context (archaeology) , humanities , philosophy , history , archaeology
In this experiment subjects read aloud an incomplete sentence and then pronounced a target word that completed the sentence. Target words were either irregular in their spelling‐to‐sound correspondence (e.g. PINT, DEAF) or regular (e.g. PILL, DUCK). The incomplete sentences were either specific, in that the sentence predicted the final word with a high degree of probability (e.g. ‘he ordered a medium rare …') or general (e.g. ‘her favourite meat was …’). Pronunciation latencies were strongly affected by the type of preceding sentence, with the specific sentences producing shorter latencies than the general sentences. A regularity effect was also found but only in the general sentence condition. Provision of a specific sentence produced similar pronunciation latencies for regular and irregular words. The data show that the regularity effect occurs in a reading task that has more in common with normal reading than previous paradigms that have explored this effect. Explanations of the interaction between context and regularity are briefly considered. RÉSUMÉ Le contexte et I'effet de régularité d'orthographe‐au‐son dans la prononciation Un nobre d'études ont montré que des mots anglais avec une correspondance irréguliére d'orthographe‐au‐son (e.g. PINT, DEAF) produisent une période de latence plus longs que des mots réguliers (e.g. PILL, DUCK). Un cwactéristique de toutes ces études est le fait que les mots ont été présentés isolément. Ce paradigme manque de validité externe puisque des mots sont rencontrés d'habitude dans un contexte de phrase. Afin d'établir si ces effets de régularité d'orthographe‐au‐son ont une signification plus large, l ‘étude présente mesurait la période de latence de prononciation pour des mots réguliers et irréguliers lorsqu’;ils sont présentés dans une phrase. L'expériment utilisait la technique rapportée par Stanovich et West (1983): à chaque essai le sujet voyait un cadre de phrase incompléte dans lequel le dernier mot était omis. Le sujet devait lire la phrase à haute voix et lorsque le mot avant‐dernier avait été lu, le dernier mot était exposé. La variable dépendante était la période de latence de prononciation pour ce mot final. I1 y avait deux types de cadre de phrase, ‘spécifique’dans lequel la phrase prédisait le mot final avec un grand degré de probabilité (e.g. ‘he ordered a medium rare …’) ou ‘général’dans lequel le mot final ne pouvait être prédit (e.g. ‘her favourite meat was …’). Dans le contexte général les péiodes de latence de prononciation de condition envers des mots irréguliers était, de maniére significative, plus longs que ceux pour des mots réguliers (607 versus 591 msec.). Avec des contextes spéifiques les périodes de latence étaient plus rapides et il n'y avait aucun effet d'irrégularité d'orthographe‐au‐son (518 versus 525 msec.). La démonstration d'un effet de régularité dans la condition du contexte général mais non dans la condition spécifique suggére que l'effet de régularité dans la prononciation persiste dans une tâiche expérimentale qui se rapproche plus de notre expérience normale de lecture. Dans un texte normal il est peu commun de trouver beaucoup de phrases qui fournissent des contextes si prophétiques que ceux utilisés dans la condition spécifique. La plus grande partie de texte a plus en commun avec la condition générale et c'est ici que des effets d'irrégularitéétaient trouvés. Pourquoi l'effet de régularité se produirait‐il seulement dans des contextes généraux? Le modéle de prononciation ‘deux routes’affirme qu'un mot peut être prononcé, soit en rendant son entrée lexicale accessible, soit par l'application de régles d'orthographe‐au‐son non‐lexicales. On assume que ces deux routes opérent parallélement. On pense que l'effet d'irrégularité se produit à cause d'un faux‐assortissement entre les débits des deux routes. L'effet de contexte spécifique serait d'accélérer la prononciation par moyen de la route lexicale parce que le seuil de l'entrée lexicale de but serait temporairement baissé. Cette augmentation de vitesse peut être si grande qu'elle empêhe n'importe quel débit de la route non‐lexicale qui est impliquée dans le processus de prononciation. Pour cette raison la base de l'effet de régularité est enlevée. Un modéle alternatif de prononciation est ‘activation‐synthése’. Ici, toute prononciation est dérivée de savoir lexical. Des effets de régularité surgissent lorsqu'il y a un conflit entre des entrées lexicales concernant la prononciation d'un fil de lettres. Bien que toutes sources lexicales contribuent à l'assemblée de prononciation, il est supposé que l'entrée lexicale particuliére au but est la plus saillante. L'interaction de contexte‐par‐régularité, observée ici, pourrait être expliquée par I'argumentation qu'elle servait à rendre l'entrée lexicale de but plus saillante, à un point où des sources lexicales opposées étaient incapables d'influencer la prononciation. Malheureusement les données préentes ne nous permettent pas de distinguer entre ces deux modéles.

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