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Social change and agency among Kubo of Papua New Guinea
Author(s) -
Dwyer Peter D.,
Minnegal Monica
Publication year - 2007
Publication title -
journal of the royal anthropological institute
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.62
H-Index - 62
eISSN - 1467-9655
pISSN - 1359-0987
DOI - 10.1111/j.1467-9655.2007.00442.x
Subject(s) - modernity , agency (philosophy) , new guinea , ethnology , context (archaeology) , sociology , humanities , geography , philosophy , social science , epistemology , archaeology
An account of the history and actions of one man is used to show how agency was central to processes of social change among Kubo people of the interior lowlands of Papua New Guinea. Through a thirteen‐year period, a growing awareness of, but little exposure to, ‘Western’ modes of living challenged earlier certainties, created desires, and suggested alternatives. Modernity thus provided the context for change. But modernity is not itself a process of change. By drawing from ambiguities inherent in pre‐existing structures (or discourses) or created de novo through encounters with previously unimagined possibilities, and by favouring one or another of the multiple trajectories legitimized by those ambiguities, people were causally implicated in changing the conditions of their own existence. Those changes entailed a shift from a predominantly relational epistemology to an increasingly categorical epistemology. Résumé Dans cet article, le récit de la vie et des actes d'un homme servent à montrer comment l'intentionnalité ( agency ) a été essentielle dans les processus de changement social chez les Kubos des basses terres intérieures de la Papouasie‐Nouvelle‐Guinée. Sur une période de treize ans, la connaissance accrue qu'ils ont eue des modes de vie « occidentaux »– tout en y étant peu exposés – a remis en question des certitudes antérieures, créé des désirs, et suggéré des alternatives. La modernité a ainsi créé le contexte du changement, sans être en elle‐même un processus de changement. À partir des ambiguïtés inhérentes aux structures (ou discours) préexistantes ou créées de novo par la découverte de possibilités jusqu'alors inimaginables, et en privilégiant l'une ou l'autre des multiples trajectoires légitimées par ces ambiguïtés, les Kubos ont été impliqués dans une relation causale de changement des conditions de leur propre existence. Ces changements ont entraîné le passage d'une épistémologie principalement relationnelle à une épistémologie de plus en plus catégorielle.