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Gender, Health and Stress in English University Staff—Exposure or Vulnerability?
Author(s) -
Tytherleigh M.Y.,
Jacobs P.A.,
Webb C.,
Ricketts C.,
Cooper C.
Publication year - 2007
Publication title -
applied psychology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 1.497
H-Index - 88
eISSN - 1464-0597
pISSN - 0269-994X
DOI - 10.1111/j.1464-0597.2006.00254.x
Subject(s) - salary , psychology , occupational stress , stressor , job satisfaction , gerontology , social psychology , political science , medicine , clinical psychology , law
In May 2002, a national benchmarking exercise of occupational stress in English Higher Education Institutions (HEIs) was carried out using the ASSET (an organisational stress screening tool), with a stratified random sample of all categories of staff. This paper presents a secondary analysis of these data by gender for full‐time, permanent staff only. Results show that when differences in age and job exposure (i.e. type of university; category of employee; salary level; hours worked per week; and additional responsibilities) were accounted for, men and women reported similar levels of stress for work relationships, work–life balance, overload, job security, control, resources and communication, and job overall. They also reported similar levels of commitment. In contrast, however, men were more troubled by pay and benefits and women reported higher levels of physical and psychological (ill) health outcomes of stress. Interpreted in accordance with the differential vulnerability and exposure hypotheses, our results show that men are more vulnerable to the negative effects of stressors associated with pay and benefits, and women are more vulnerable to the negative outcomes of health, and not by differential exposure to them. En mai 2002, on a réalisé une évaluation nationale du stress professionnel dans les institutions britanniques d’enseignement de haut niveau (HEI) en utilisant l’ASSET (un outil de dépistage du stress professionnel), avec un échantillon stratifié aléatoire de toutes les catégories d’équipes. On expose dans cet article une analyse secondaire par genre des données recueillies, uniquement pour les groupes permanents travaillant à plein‐temps. Il est apparu que si l’on tenait compte des différences d’âge et de situations professionnelles (type d’université, catégorie de salarié, niveau de revenu, nombre d’heures travaillées par semaine et autres responsabilités), les deux sexes faisaient part de niveaux analogues de stress en ce qui concerne les relations de travail, l’équilibre entre les vies de travail—hors travail, le surmenage, la sécurité professionnelle, la maîtrise des situations, les ressources et la communication, et le travail en général. Ils ont aussi manifesté des niveaux d’implication comparables. Par contre, les hommes étaient davantage indisposés par le salaire et autres avantages, et les femmes rapportaient des retombées plus fréquentes du stress sur leur santé physique et mentale. Interprétés à partir des hypothèses d’exposition et de vulnérabilité différentielles, nos résultats montrent que les hommes sont plus vulnérables à l’impact négatif des facteurs de stress liés au salaire et autres avantages matériels, tandis que les femmes sont plus sensibles aux éléments nuisant à leur santé indépendamment des différences d’exposition.

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