Rapeseed meal in the diet of common carp reared in heated waters

Résumé La farine de colza dans le régime de la Carpe elevée dans l'eau rechaufée. IV. Histologie thyroidienne et accumulation de 125 I Carpes communes 15–25 g ont été nourries de régimes à base de farine de poissons ou à base de farine d'avoine régimes témoins et de régimes à base de farine de colza pendant trois mois. Différentes farines de colza différentes par les precédés de fabrication et par les tenures en glucosinolates goitrigénes ont été utilisées. Dans cette étude, nous avons suivi la radioactivité dans divers tissus des carpes ayant subies une injection intrapéritoniale de Na 125 I. Les centres thyroidiens du rein sont actifs chez la Carpe et ils accumulent une majeure partie de 125 I administrée. La radioactivité dans le rein des poissons nourris de farine de colza à haute teneur en glucosinolate (HRM) est plus elevée 37.3% que dans le rein des carpes nourries de régimes témoins à base de farine de poisson (27.4%) ou à base de farine d'avoine (10.5%). Les centres thyroidiens de la région de pharynx ne retiennent que de 1.16–2.41 % de 125 I injectée et aucune différence significative n'est observée entre les différents traitements. Chez les carpes nourries de HRM, 98.3% de la radioactivité rénale se trouve dans le culot précipité par l'acide sulfosalicylique; elle n'est que de l'ordre de 89.7% chez celles nourries de régimes à basse teneur en glucosinolates LRM. Les hauteurs de cellules de follicules thyroidiennes sont supérieures chez les poissons recevant les régimes à base de colza comparés à ceux nourris de régime témoin. Cependant, ni une hyperplasie thyroidienne, ni de déformations folliculaires sont notées chez la Carpe, contrairement aux observations chez la truite arc‐en‐ciel ou d'autres vertebrés recevant les régimes à base de colza. Zusammenfassung Rapsmehl in Rationen für Warmwasser‐Karpfen IV. Die Jod‐Akkukumulation und Histologie der Schilddrüse Fischfutter auf Fischmehlbasis mit Gerste (Kontrolle) oder Rapsmehl (Versuch) wurde über 3 Monate an Karpfen verfüttert. Je nach Herstellung enthielt das Rapsmehl unterschiedliche Mengen an goitrogenen Glucosinolaten. Anschließend wurde der Einbau von 125 J in einzelne Gewebe gemessen. Nach Fütterung von glucosinolatreichem Raps wurden 37,3% der verabreichten 125 J‐Dosis in der Niere festgestellt, bei Fütterung von Fischmehl allein betrug der Wert 27,45% und bei Gerstenfütterung 10,5%. In der Schilddrüse wurden unabhängig von der Fütterung 1,16–2,41% des radioaktiven Jods wiedergefunden. 98,3% des radioaktiven Jods in der Niere befanden sich in der Sulfosalicyl‐löslichen Phase nach der Verfütterung von glucosinolatreichem Raps, bei glucosinolatarmen Rapsmehl betrug dieser Anteil nur 89,7%.