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IgM‐IgG (β 2 M‐7Sγ) Cryoglobulinemia An Auto‐Immune Phenomenon
Author(s) -
PEETOOM F.,
LOGHEMLANGEREIS ERNA
Publication year - 1965
Publication title -
vox sanguinis
Language(s) - German
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.68
H-Index - 83
eISSN - 1423-0410
pISSN - 0042-9007
DOI - 10.1111/j.1423-0410.1965.tb01391.x
Subject(s) - cryoglobulins , medicine , microbiology and biotechnology , antibody , immune system , immunology , biology
Résumé Des cryoglobulins composées de complexes IgM/IgG (β 2 M/7Sγ), ont été observées régulièrement dans le sérum de patients présentant des symptômes cliniques de différentes collagénoses. Une augmentation combinée des immunoglobulines, sans caractéristique de paraprotéines, a été constamment trouvée chez ces patients. Le phénomène de cryoglobuline apparaît comme étant de nature auto‐immune. Le complexe IgM/IgG est le produit d'une réaction auto‐immune entre l'IgM (l'anticorps) et l'IgG (l'antigène). En plus de la réaction avec l'IgG autologue, le composant cryoglobulinique IgM réagit aussi avec l'IgG d'autres individus. Aucune spécificité d'anticorps (anti‐Gm ou anti‐Inv) n'a pu être détectée. L'activité d'anticorps IgM peut être démontrée au moyen de réactions d'immunoprécipitation et de tests au latex, avec des erythrocytes (Rh) sensibilisés et au moyen de la réaction d'immuno‐adhérence leucocytaire (ou parfois érythrocytaire). Il est tout à fait clair que le caractère cryoglobulinique typique (IgM/IgG) est déterminé par le rapport antigène‐anticorps où un excès relativement important d'antigènes est le point critique. Enfin, le rapport causal entre la symptomatologie clinique et la cryoglobulinémie est discuté. Certaines anomalies cliniques observées peuvent être attribuées à la présence de complexes immuns IgM/IgG dans le système circulatoire. De toute manière, on ne possède pas encore d'information précise pour déterminer si les conséquences pathologiques possibles sont dues principalement à des facteurs qualitatifs ou quantitatifs de ce phénomène. Zusammenfassung Kryoglobuline, die aus IgM/IgG (β 2 M/7Sγ)‐Komplexen bestehen. werden regelmäßig in Seren von Patienten mit verschiedenen klinischen Zeichen von Kollagenkrankheiten gefunden. Bei diesen Patienten findet man eine kombinierte Vermehrung der Immunglobuline; Anhaltspunkte für das Vorliegen von Paraproteinen fehlen. Beim Kryoglobulin‐Phänomen handelt es sich mit großer Wahrscheinlichkeit um ein autoimmunologisches Geschehen. Der IgM/IgG‐Komplex ist das Produkt einer Antigen‐Antikörperreaktion zwischen IgM (Antikörper) und IgG (Antigen). Die IgM‐Kryoglobulinkomponente reagiert nicht nur mit den autologen, sondern auch mit heterologen IgG‐Globulinen anderer Individuen. Eine Antikôrperspezifität (Anti‐Gm bzw. Anti‐Inv) wurde nicht gefunden. Die Antikörperaktivitöt der IgM‐Antikörper konnte an Hand von Immunpräzipitationen, von Latextests, der Agglutination Rh‐sensibilisierter Erythrozyten sowic mit Hilfe der Immunadhaerenz an Leukozyten, selten auch an Erythrozyten, zur Darstellung gebracht werden. Es spricht viel dafür, daß der typische (IgM/IgG)‐Kryoglobulincharakter maßgeblich durch das Antigen‐Antikörper‐Mengenverhältnis beeinflußt wird, wobei ein relativer Antigenüberschuß entscheidend ist. Abschließend werden die kausalen Beziehungen zwischen der klinischen Symptomatologic und der Kryoglobulinämie besprochen. Gewisse klinische Anomalien könnten durch die Anwesenheit von IgM/IgG‐Immunkomplexen im Kreislauf erklärt werden. Dabei ist aber in Betracht zu ziehen, daß man zur Zeit noch nicht über schlüssige Unterlagen verfügt, um zu entscheiden, ob lediglich quantitative oder auch qualitative Faktoren beim Zustandekommen der Krankheitserscheinungen die Hauptrolle spielen.

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