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Le point sur l'utilisation de sérums anti‐protéines non structurales pour l'étude de la sharka 1
Author(s) -
ADAMOLLE C.,
QUIOT L.,
BOUSALEM M.,
BOEGLIN M.,
QUIOT J. B.
Publication year - 1994
Publication title -
eppo bulletin
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.327
H-Index - 36
eISSN - 1365-2338
pISSN - 0250-8052
DOI - 10.1111/j.1365-2338.1994.tb01080.x
Subject(s) - microbiology and biotechnology , physics , chemistry , biology
Une voie possible pour la détection et la caractérisation des souches du plum pox potyvirus (PPV) peut être l'utilisation de sérums préparés contre des protéines non structurales, en particulier la protéine des inclusions cylindriques (CIP) et la protéine ‘a’ des inclusions nucléaires (NIaP) qui induisent des inclusions volumineuses dans les cellules infectées. Ces deux types d'inclusion ont été purifiés à partir de plants de Pisum sativum infectés par le PPV. Des antisérums ont ensuite été préparés contre leur monomère respectif. Pour la détection de l'infection, des essais comparatifs de tests ELISA montrent que, malgré une optimisation des tests utilisant les antisérums des protéines non structurales du PPV sur Prunus , l'antiserum dirigé contre la capside du sérotype D demeure, actuellement, le plus performant pour une détection de la virose en verger. Cependant, les sérums anti‐protéines non structurales se sont révélés utilisables pour des applications utilisant d'autres techniques comme, par exemple, la détection et la localisation tissulaire des protéines grâce à l'immuno‐empreinte. Ces sérums, qui ont présenté en électroimmunoblot une bonne spécificité pour le PPV et une grande polyvalence vis‐à‐vis des isolats de PPV testés, ont permis de constater que, contrairement à la sous‐unité capsidiale, les sous‐unités de CIP et de NIaP ne présentaient pas, entre souches, de difference de mobilitéélectrophorétique.

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