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L'embryogenèse de Meloidogyne arenaria (Neal, 1889) Chitwood, 1949
Author(s) -
Berge J.,
Cuany A.
Publication year - 1973
Publication title -
eppo bulletin
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.327
H-Index - 36
eISSN - 1365-2338
pISSN - 0250-8052
DOI - 10.1111/j.1365-2338.1973.tb02104.x
Subject(s) - humanities , physics , microbiology and biotechnology , biology , art
Sommaire L'embryogenèse de Meloidogyne arenaria (Neal) Chitwood, espèce très répandue dans le monde entier, est étudiée en utilisant la méthode de N igon (1965) ainsi que sa terminologie par lettres pour la désignation des cellules. L'observation de la destination des différents blastomères qui se forment est tendue difficile du fait d'un certain nombre de rotations cellulaires qui surviennent dès avant le stade morula. La formation du stade gastrula peut être divisée en trois phases, caractérisées par l'apparition de nouveaux tissus. Ces faits mis à part, l'embryogenèse est de type classique et ressemble à celle décrite par S iddiqui et T aylor (1970) à propos de Meloidogyne naasi Franklin. Un phénomène de rejet qui ne semble pas avoir été mentionné chez d'autres nématodes phytoparasites a été mis en évidence. Dans 10% des cas, on a observé, dès le début du développement de l'œuf entre 3 et 10 blastomères, des formations cytoplasmiques qui n'évoluent pas par la suite et se résorbent au moment de la différenciation de la larve L 2 . Resume Embryogenesis of Meloldogyne arenaria (Neal, 1889) Chitwood, 1949 The embryogenesis of Meloidogyne arenaria (Neal) Chitwood is studied, using N igon's method (1965) and his letter terminology for the various cells. The fact that several cell rotations occur during segmentation makes it difficult to follow their movements and find their final destination. Nevertheless their evolution looks very similar to that described by S iddiqui and T aylor (1970) for M. naasi Franklin. Three distinct phases, marked by the advent of new tissues, can be seen during the gastrula stage. We observed in 10% of the eggs of M. arenaria , a phenomenon which has never been recorded in any other species of plant parasitic nematode; a part of the egg content is rejected very early in its development, forming masses which do not evo‐lute and are resorbed when the L 2 larva is formed.