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Variation in use of green flushes following burns among African ungulate species: the importance of body size
Author(s) -
WILSEY BRIAN J.
Publication year - 1996
Publication title -
african journal of ecology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.499
H-Index - 54
eISSN - 1365-2028
pISSN - 0141-6707
DOI - 10.1111/j.1365-2028.1996.tb00591.x
Subject(s) - wildebeest , ungulate , equus , biology , ecology , forestry , geography , habitat , national park
Summary In order to determine if use of green flushes following fire varied among ungulate species, six common species of the Serengeti Ecosystem were censused on burned and in adjacent unburned sites. Thomson's gazelle ( Gazella thomsonii Günther), impala ( Aepyceros melampus (Lichtenstein)), Grant's gazelle ( Gazella granti Brooke) and wildebeest ( Connochaetes taurinus Thomas) were more abundant in green flush sites compared to unburned controls. No significant difference was found in topi ( Damaliscus korrigum (Matschie)) and zebra ( Equus burchelli Gray) between burned and unburned sites. Preference (differential use) for burned sites was negatively related to average ungulate body size across species. It is hypothesized that larger species (e.g. topi and zebra) try to maximize their energy and nutrient intake by feeding on both burned sites where there is a low quantity of high‐quality forage, and unburned sites where forage quantity is high but forage quality is low. Smaller species (e.g. gazelles and impala) feed exclusively in burned sites (where there is higher quality forage) to fulfil the high metabolic requirements associated with small body‐sized animals. Résumé Pour déterminer si l'utilization de la verdure rase qui repousse après les feux varie selon les espèces d'ongulés, on a relevé six espèces communes de l'écosystème du Serengeti dans les endroits brûlés et dans les zones adjacentes. La gazelle de Thomson ( Gazella thomsoni Günther), l'impala ( Aepyceros melampus (Lichtenstein)), la gazelle de Grant ( Gazell granti Brooke) et le gnou ( Connochaetes taurinus Thomas) étaient plus abondants aux endroits de repousse qu'à ceux qui n'avaient pas brûlé. On ne trouvait pas de différence significative pour le topi ( Damaliscus korrigum (Matschie)), ni pour le zèbre ( Equus burchelli Gray), entre les endroits brûlés ou non. La préférence (la différence d'utilisation) pour les sites brûlés était inversément liés à la taille corporelle moyenne de l'espèce. On émet l'hypothèse que les plus grandes espèces (par ex. le topi et le zèbre) essaient de maximaliser leur prise d'énergie et de nutriments en se nourrissant aux endroits brûlés, où il y une quantité réduite de fourrage de haute qualité, et aux endroits non brûlés, où la quantité de fourrage est plus grande mais de moinsbonne qualité. Les plus petites espèces (par ex. les gazelles et l'impala) se nourrissent exclusivement sur les sites brûlés (où le fourrage est de meilleure qualité) pour satisfaire les exigences métaboliques élevées associées aux animaux de petite taille.

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