Structure and diversity comparison of three dry forests at Nakuru National Park, Kenya

Summary Three types of dry forest, dominated by either Acacia xanthophloea, Euphorbia candelabrum or Olea europaea spp. africana , at Lake Nakuru National Park were sampled using a fixed radius point‐centred quarter method. The density estimates from these data should be more accurate than those derived from normal point‐centred quarter measures. By comparing species area curves erected probabilistically using the density estimate with those from a random (Monte Carlo) sampling of the frequency data set we were able to confirm the validity of our field sampling and density estimating procedure. We found that overall species' diversity and equitability indices gave differences between the three forest types as sampled which were the inverse of the trends demonstrated by species area curves, and suggest that the indices reflect a diversity while the species area curves have to do with P diversity or habitat heterogeneity. We use these results to argue that the structure of evergreen dry woodland merits further study. Résumé Trois types de forets sèches, dominées par Acacia xanthophloea, Euphorbia candelabrum ou Olea europaea spp. africana , ont étééchantillonnées au Pare National du Lac Nakuru en utilisant une methode de quartier à rayon fixe, centré sur un point. Les estimations de densité provenant de ces données devraient être plus précises que celles dérivées des mesures normales de quartier centré sur un point. En comparant les zones de courbes par espèce projetées d'après un calcul de probabilité utilisant les estimations de densité, avec celles obtenues d'un échantillonnage au hasard (Monte Carlo) des données de fréquence, nous avons pu confirmer la validité de notre échantillonnage de terrain et de la procédure d'estimation des densités. Nous avons trouvé que la diversité générale des espèces et les index d'équitabilité donnaient des différences entre les trois types de forêts tels qu'on les avait échantillonnés, qui allaient à l'inverse des tendances démontrées par les zones de courbes par espèces et suggere que les indices reflètent une diversitéα alors que les zones de courbes par espèces reflétent une diversitéβ ou une hétérogénéité d'habitat. Nous utilisons ces résultats pour justifier le fait que la structure des foréts sèches sempervirentes mérite une recherche plus approfondie.