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Drought‐related mortality of wildlife in the southern Kalahari and the role of man
Author(s) -
KNIGHT M. H.
Publication year - 1995
Publication title -
african journal of ecology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.499
H-Index - 54
eISSN - 1365-2028
pISSN - 0141-6707
DOI - 10.1111/j.1365-2028.1995.tb01047.x
Subject(s) - wildebeest , dry season , geography , biology , population , forestry , ecology , ungulate , demography , national park , sociology , habitat
Summary In the southern Kalahari during the dry season of 1985 varying numbers of ostrich and four large indigenous ungulate species died because of drought conditions. These dry conditions had prevailed for the previous six years. Percentage estimates of each population that died were: eland 35%, wildebeest 19%, red hartebeest 12%, gemsbok 1% and ostrich 10%. This die‐off was unusual in that many eland, an intermediate feeder, succumbed to the dry conditions. This is contrary to the normal trend of large grazers suffering the greatest mortality. Mortality was least among adult females and yearlings, that would have facilitated a rapid post‐drought recovery of the populations. It is suggested that the dry season die‐off of the migrant species (particularly wildebeest and eland) was exacerbated through the provision of artificial water‐holes. This led to the attraction and concentration of animals in their summer season ranges during the dry winter. It is further suggested that poor‐quality drinking water may have increased mortality for several of the species. Résumé Dans le sud du Kalahari, pendant la saison sèche de 1985, un certain nombre d'autruches et de membres de quatra espèces de grands ongules indigènes sont morts en raison des conditions de sécheresse. Ces conditions arides avaient prévalu pendant les six années précédentes. Les pourcentages estimés des morts de chaque population s'élevèrent à: 35% pour les élands, 19% pour les gnous, 12% pour les bubales caama, 1% pour les gemsboks et 10% pour les autruches. Ces partes avaient ceci d'inhabituel que les élands, qui se nourrissent de façon mixte, succombaient aux conditions arides. Ceci est contraire à la tendance normale selon laquelle les grands herbivores souffriraient de la plus forte mortalité. La mortalitéétait plus faible chez les femelles et les jeunes d'un an, ce qui pourrait avoir facilité une reconstitution rapide des populations après la sécheresse. On suggère que les pertes subies par les populations migratices en cours de saison séche (surtout les gnous et les élands) ont pu être accentuées par la provision de points d'eau artificiels. Ceux‐ci ont attiré et concentré les animaux dans leurs habitats d'été pendant la sécheresse de l'hiver. On suggére aussi que la mauvaise qualité de l'eau fornie pourrait avoir accru la mortalité de plusieurs espèces.