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Uganda kob reproductive seasonality: optimal calving seasons or condition‐dependent oestrus?
Author(s) -
DEUTSCH JAMES C.,
OFEZU ANGELO A.
Publication year - 1994
Publication title -
african journal of ecology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.499
H-Index - 54
eISSN - 1365-2028
pISSN - 0141-6707
DOI - 10.1111/j.1365-2028.1994.tb00579.x
Subject(s) - biology , seasonality , national park , ice calving , seasonal breeder , geography , demography , ecology , pregnancy , genetics , lactation , sociology
Summary Although Uganda kob (Kobus kob thomasi (Neumann)) are reported to be aseasonal breeders, large seasonal variation was recorded in the number of animals utilizing mating grounds (leks) in Queen Elizabeth National Park. This variation could result from optimal timing of calving, from condition‐dependent oestrus, or from other seasonally varying costs or benefits. These explanations were tested by comparing rainfall and grass greenness scores with the numbers of males, females, and receptive females on leks and the number of calves along systematic transect lines and by analysing changes in numbers on leks. Male and female numbers were strongly related to grass greenness, receptive females numbers significantly but less strongly related to greenness, and calves unrelated to any seasonal variable. In multivariate analyses, male numbers increased with females and greenness, and females increased with males, female density, and grass height. Thus, oestrus may be dependent on condition but females do not appear to calve during the optimal season, and males apparently time their territory tenure based on both the reproductive benefits and the nutritional costs. Résumé Bien qu'il soit rapporté que les Cobes de Thomas (Kobus kob thomasi (Neumann)) ne sont pas de reproducteurs saisonniers, on enregistre une variation saisonniere importante dans le nombre d'animaux utilisant des espaces d'accouplement (Leks) au Queen Elizabeth National Park. Cette variation pourrait résulter d'une époque optimale pour la mise bas, d'une entree en oestrus dépendante de certaines conditions, ou d'autres coûts ou bénéfices variant selon la saison. Ces hypothèses furent testées en comparent les scores de chutes de pluie et de fraîcheur des graminées avec les nombre de mâles, femelles et femelles réceptives sur les leks, le nombre de jeunes le long des lignes de transect systématique, ainsi qu'en analysant les variations numériques sur les leks. Les nombres de mâles et de femelles sont fortement liés à la fraîcheurs des graminées, le nombre de femelles réceptives est signicativement mais moins fortement liés à la fraîcheur des graminée, et celui des jeunes cobes ne sont liés à aucune variable saisonnière. Dans les analyses multivariées le nombre des mâles augmente proportionellement à celui des femelles et à la fraîcheur des graminées, et le nombre de femelles augmente proportionellement à celui des mâles, à la densité des femelles et à la hauteur des graminées. L'entrée en oestrus peut être dépendante de certaines conditions, mais les femelles ne semblent pas mettre bas durant la siason optimale et les mâles programment apparemment l'époque de leur défense territoriale au cours de la saison optimale en fonction de bénéfices reproductifs et des coûts nutritionnels.