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Spatial arrangement of spotted hyaena groups in a desert environment, Namibia
Author(s) -
TILSON R. L.,
HENSCHEL J. R.
Publication year - 1986
Publication title -
african journal of ecology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.499
H-Index - 54
eISSN - 1365-2028
pISSN - 0141-6707
DOI - 10.1111/j.1365-2028.1986.tb00358.x
Subject(s) - geography , crocuta crocuta , population , ecology , clan , predation , biology , demography , anthropology , sociology , panthera
Summary Spatial organization of spotted hyaenas (Crocuta crocuta) in the central Namib Desert, SWA/Namibia was determined during a 21‐month study (1977–1979). Clans of three, four and five adults occupied mutually exclusive home ranges that had no overlap at boundaries. Group home ranges averaged 570 km 2 (range = 383–816 km 2 ). Core areas containing breeding dens, lairs and water sources were scent‐marked with faeces (= latrines), anal gland deposits (= pasting) and interdigital gland deposits (scratch marks). Intergroup encounters and associated territorial behaviours described for East African hyaena populations were not observed in the Namib hyaena population. We suggest that small group size, large home range and temporal distribution pattern of spotted hyaenas in the central Namib are an adjustment to a dispersed, depauperate prey assemblage and to the limited availability of water and shelter that are characteristic of this desert environment. Résumé L'organisation spatiale des hyénes tachetées (Crocuta crocuta) dans le centre du désert du Namib (Namibie) fut déterminée au cours d'une étude de 21 mois (1977‐79). Des clans de trois, quatre et cinq adultes occupent, en s'excluant mutuellement, des domaines vitaux qui ne se superposent pas à leurs limites. Les domaines vitaux de groupes couvrent en moyenne 570 km 2 (extrêmes = 383–816 km 2 ). Les zones centrales contenant les terriers de reproduction, les tanières et les sources d'eau sont marquées par des excréments (latrines), des produits de glandes anales (pasting) et des produits de glandes interdigitales (marques de grattage). Les rencontres inter‐groupes et les comportements territoriaux associés tels qu'ils furent décrits chez les populations d'hyènes d'Afrique de l'Est ne furent pas observés dans la population du Namib. Nous suggérons ici que le groupe de petite taille, le domaine vital étendu et le type de distribution temporelle des hyènes tachetées du Namib sont un ajustement à la dispersion et la faible densité des proies ainsi qu'à la disponibilité limitée d'eau et d'abris qui sont caractéristiques de cet environnement désertique.