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A dental abnormality among a population of Defassa waterbuck ( Kobus defassa Ruppell 1835)
Author(s) -
FOLEY R. A.,
ATKINSON SARAH
Publication year - 1984
Publication title -
african journal of ecology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.499
H-Index - 54
eISSN - 1365-2028
pISSN - 0141-6707
DOI - 10.1111/j.1365-2028.1984.tb00703.x
Subject(s) - population , national park , demography , geography , biology , ecology , sociology
Summary This paper reports the high frequency of dental abnormality found among a population of waterbuck in Nakuru National Park, Kenya, and discusses the possible causes. The data were obtained from examination of carcasses and skeletons found in the Park–58.3% of these displayed uneven wear along the posterior tooth row, sometimes resulting in tooth loss. These patterns were found in individuals of both sexes and all ages. It is argued that this high incidence of dental abnormalities is the result of the specific conditions in which the Nakuru water‐buck population live (isolation and reduced competition and predation) leading to inbreeding and increased homozygosity and a higher frequency of expressed genetic abnormalities. These conclusions may have some implications for wildlife management of isolated populations. Résumé Ce travail discute de la fréquence élevée d'anomalies dentaires constatée parmi la population de waterbucks du Parc National de Nakuru (Kenya) et examine les causes possibles de celle‐ci. Les données ont été obtenues par l'examen de carcasses et squelettes trouvés dans le Parc, dont 58.3% présentaient une usure inégale le long de la rangée dentaire postérieure parfois due à la perte de dent. Cette usure est relevée chez des individus des deux sexes et de tous âges. Il est suggéré que l'incidence élevée d'anomalies dentaires est le résultat des conditions spécifiques qui régissent la population de waterbuck de Nakuru (isolation, compétition réduite et prédation) qui mènent à une consanguinité, une homozygosité accrue et une plus haute fréquence d'anomalies génétiques. Ces conclusions peuvent avoir certaines implications pour la gestion de populations sauvages isolées.