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Nocturnal ecology of the springhare, Pedetes capensis , in Botswana
Author(s) -
BUTYNSKI T. M.
Publication year - 1984
Publication title -
african journal of ecology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.499
H-Index - 54
eISSN - 1365-2028
pISSN - 0141-6707
DOI - 10.1111/j.1365-2028.1984.tb00669.x
Subject(s) - moonlight , geography , nocturnal , habitat , burrow , ecology , humanities , biology , art
Summary The springhare, Pedetes capensis , was studied in the Kalahari Desert, Republic of Botswana, from August 1971 to August 1974 inclusive. Night censuses totalling 253 h provided data on springhare habitat selection, social grouping, activity pattern and the effect of moonlight and weather on activity. Utilization of dry lakebeds (pans) by springhares was 2.3‐3.4 times greater than on the surrounding habitats. Springhares were strictly nocturnal. The population, as a whole, exhibited one activity peak every 24 h. Group size and distance from burrows were directly related to time after sunset. Low temperatures and moderate to heavy precipitation both reduced springhare activity, while moonlight reduced the distance to which springhares moved out onto pans. Except for adult males, all sex/age classes of springhares participated in group formation to the same extent. Apparently little social cohesion existed within groups. Territoriality was not observed but may occur in the area immediately around the burrow. Résumé Le lièvre sauteur ( Pedetes capensis ) fut étudié dans le désert du Kalahari, au Botswana, de août 1971 à août 1974. Un total de 253 heures de recensements nocturnes a fourni des données sur le choix de l'habitat chez le lièvre sauteur, son organisation sociale, ses types d'activités et l'effet du clair de lune et du temps sur celles‐ci. L'utilisation du fond des lacs esséchés (pans) par ces animaux est de 2.3 à 3.4 fois plus important que les habitats avoisinants. Les lièvres sauteurs sont strictement nocturnes. L'ensemble de la population présente une activité maximale toutes les 24 heures. La taille du groupe et la distance au terrier sont en relation directe avec le temps écoulé après le coucher du soleil. Des températures basses ou modérées ainsi que les grosses précipitations réduisent l'activité des lièvres sauteurs, alors que le clair de lune limite la distance que l'animal parcourt sur les pans.