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The large herbivore populations of Ngorongoro Crater
Author(s) -
ESTES R. D.,
SMALL ROBERT
Publication year - 1981
Publication title -
african journal of ecology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.499
H-Index - 54
eISSN - 1365-2028
pISSN - 0141-6707
DOI - 10.1111/j.1365-2028.1981.tb00661.x
Subject(s) - wildebeest , herbivore , ecology , geography , population , impact crater , habitat , dry season , biology , national park , demography , sociology , astrobiology
Summary Information on large herbivore populations and movements within the Ngorongoro Crater and surrounding grasslands is taken from the results of thirty‐three censuses undertaken between 1964 and 1978. Data show that wildebeest, with an annual average of over 14,000 animals, form over two‐thirds of the large herbivore population. Crater carrying capacity is discussed in relation to rainfall in the crater and on surrounding hills and slopes. It is suggested that inflowing water from the Crater Highlands controls carrying capacity and that rainy season water levels and dry season burns control seasonal movements. The relatively constant population size of wildebeest and zebra is due to periodic net emigration. In conclusion it is argued that the crater does not function as an isolated island and that the survival of viable wildlife populations depends on land use on the adjacent grassland habitats. Résumé Des informations sur les populations et les mouvernents des grands herbivores dans le cratère du Ngorongoro et les savanes avoisinantes sont basées sur les résultats de 33 recensements réalisés entre 1964 et 1977. Ces données montrent que les gnous, avec une moyenne annuelle de plus de 14000 animaux, forment plus des 213 de la population des grands herbivores. La capacité de charge du cratère est analysée en relation avec les chutes de pluie locales, sur les crêtes et les versants des alentours. On suggère que l'écoulement des eaux en saison sèche dans le cratère régit la capacité de charge et que les quantités d'eau en saison des pluies et les feux en saison sèche régissent les déplacements saisonniers. Les tailles des populations relativement constantes des gnous et des zèbres sont dues è I'emigrationpériodiquenette. En conclusion, il est démontré que le cratère ne fonctionne pas comme un îlot isolé et que la survie de ses populations dépend du sort des milieux de savane adjacents.

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