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Conservation of the sable Hippotragus niger roosevelti in the Shimba Hills, Kenya
Author(s) -
SEKULIC R.
Publication year - 1981
Publication title -
african journal of ecology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.499
H-Index - 54
eISSN - 1365-2028
pISSN - 0141-6707
DOI - 10.1111/j.1365-2028.1981.tb00659.x
Subject(s) - geography , forestry , range (aeronautics) , population , national park , ecology , physical geography , archaeology , biology , demography , materials science , sociology , composite material
Summary The Shimba Hills National Park (190 km 2 ) is the last refuge of the sable, Hippotragus niger roosevelti (Heller), in Kenya and includes the northernmost range of this species. Periodic observations since 1973 indicate that about 200 sable are divided into six distinct herds, each inhabiting a well defined home range of 10–24 km 2 . Adult males form a territorial network which is maintained throughout the year. One to six male territories cover the range of one female herd. The sable population has almost doubled in the period between 1969 and 1975. The carrying capacity of the Shimba Hills for the sable is estimated. Knowledge of the ranging habits of the herds has provided information for a management plan. Rotational burning is necessary to keep the grassland from growing into bush and displacing the sable. Unfortunately, this cannot be properly implemented because of the forestry Department's policies of planting exotic softwood. The effect of pine plantations on the sable is examined. Résumé Le Parc National des Shimba Hills (190 km 2 ) est le dernier refuge de I'hippotrague noir, Hippotragus niger roosevelti (Heller), au Kenya et comprend la limite septen‐trionale de distribution de cette espèce. Des observations périodiques depuis 1973 indiquent qu'environ 200 hippotragues sont répartis en six hardes distinctes, occupant chacune une territoire bien défini de 10 à 24 km 2 . Les mâles adultes forment un réseau territorial qui est maintenu tout au long de I'année. Les territoires de un à six mâles couvrent le territoire d'une harde de femelles. La population d'hippotragues a presque doublé dans I'intervalle de 1969 à 1975. La capacité de charge des Shimba Hills pour l'hippotrague noir est estimée. La connaissance des comportements terri‐toriaux des hardes a fourni les informations pour un plan de gestion. La rotation des feux est nécessaire pour préserver la transformation du tapis graminken en une savane buissonneuse qui écarterait I'hippotrague. Malheureusement, ceci ne peut se réaliser correctement à cause de la politique du Département des Forêts consistant à planter des essences exotiques. L'effet des plantations de résineux sur l'hippotrague est examinée.