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A quantitative assessment of range usage by large African mammals with particular reference to the effects of elephants on trees
Author(s) -
ELTRINGHAM S. K.
Publication year - 1980
Publication title -
african journal of ecology
Language(s) - English
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.499
H-Index - 54
eISSN - 1365-2028
pISSN - 0141-6707
DOI - 10.1111/j.1365-2028.1980.tb00270.x
Subject(s) - hippopotamus , geography , national park , clearance , population , range (aeronautics) , ecology , forestry , biology , demography , medicine , materials science , sociology , composite material , urology
Summary Ground counts, some of which were followed by aerial counts, were made of the six major species of large mammals on Mweya Peninsula, Rwenzori National Park, Uganda at approximately weekly intervals between 1968 and 1973. During this period, the number of hippopotamus increased from 5.4 to 25.3 per km 2 . There was a significant drop in buffalo numbers due to the breakup of a large herd as well as a significant decline in elephant numbers. There was a great reduction in the number of solitary male waterbuck, suggesting a change in the social behaviour. The rise in hippopotamus numbers is a local phenomenon due to recolonization of an area previously cleared of the species and is not reflected in the hippopotamus population of the park as a whole. Comparison with earlier counts made since 1956 show that the greatest values for the biomass and energy consumption of the large mammal community were reached in 1973 but in numbers, the peak occurred in 1968. By the end of the study, the composition of the community was reverting to the position found in 1956 with a preponderance of hippopotamus after a more balanced distribution between the species had been reached in 1968. Comparisons showed that there was little difference between ground counts made by different observers but there was evidence of significant observer bias in the aerial counts. There were also some significant differences between aerial and ground counts made on the same day. Trees marked on the Peninsula showed a mortality of 5.7% per annum between 1971 and 1976 mainly as a result of elephant damage. A quantitative assessment showed the loss of one tree per km 2 after an elephant usage equivalent to 52.6 elephants per day. There was extensive regeneration of trees with a density of 11,058 saplings per km 2 of which only 2.8 per annum need to survive to maturity to maintain the present population. Résumé Des recensements au sol, parfois suivis de comptages aériens, des six espèces prin‐cipales de grands mammifères furent menés sur la Péninsule de Mweya, au Rwenzori National Park, à intervalles d'environ une semaine entre 1968 et 1973. Durant cette# période, le nombre d'hippopotames a sugmenté de 5.4 à 25.3 ind./km 2 . II y eut un déclin significatif du nombre de buffles dûà la scission d'un grand troupeau, ainsi qu'une diminution significative du nombre d'éléphants. II y eut une réduction import‐ante du nombre de mâles solitaires chez le waterbuck, ce qui suggère un changement de comportement social. L'augmentation des nombres d'hippopotames est un phéno‐màne local dî a la recolonisation d'une zone où I'espbce fut éliminée auparavant et ne reflète pas les populations d'hippopotames de I'entièreté du parc. La comparaison avec les recensements précédents menés depuis 1956 montrent que les valeurs les plus élevées de biomasse et de consommation d'énergie de la communauté des grands mammifères furent atteintes en 1973, mais, en nombre d'individus, le maximum est situé en 1968. A la fin de I'étude, la composition de la communautéévoluait vers la situation observée en 1956 avec une prépondérance d'hippopotames, après un passage en 1968 par une distribution entre les espèces plus équilibrée. Les comparaisons montrent qu'il y a peu de différences entre les recensements au sol menés par différents observateurs mais qu'il existe un biais significatif évident selon I'observateur dans les comptages aériens. II en existe également entre les comptages au sol et aériens faits le même jour. Le marquage d'arbres dans la Péninsule a montré une mortalité de 5.7% par an entre 1971 et 1976 principalement due aux dommages causés par les éIéphants. Une évaluation quantitative montre que la perte d'un arbre au km 2 due aux dégats d'éléphants correspond à une population de 52.6 animaux par jour à cet endroit. II y a une régénération intensive des arbres avec une densité de 11058 échantil‐Ions au km 2 dont seulement 2.8/an doivent survivre jusqu'à maturité pour maintenir la présente population.

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