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Ecology of the giraffe in Tsavo East National Park, Kenya
Author(s) -
LEUTHOLD BARBARA M.,
LEUTHOLD WALTER
Publication year - 1978
Publication title -
african journal of ecology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.499
H-Index - 54
eISSN - 1365-2028
pISSN - 0141-6707
DOI - 10.1111/j.1365-2028.1978.tb00419.x
Subject(s) - national park , ecology , dry season , vegetation (pathology) , woodland , habitat , deciduous , biological dispersal , wet season , population , geography , population density , sex ratio , biology , demography , medicine , pathology , sociology
Summary The decrease in woody vegetation in Tsavo National Park has probably had adverse effects on woodland‐adapted herbivores, including the giraffe ( Girafa camelopar‐dalis ). In an ecological study we attempted to assess this species' density, habitat preference and utilization, and population dynamics, using mainly road strip counts and identification of individual animals. Population structure varied seasonally and locally, indicating differential distribution of sex/age classes. Records on individually known animals suggested an annual mortality rate of c . 10% for adult plus subadult animals. Of fifteen newborn young, five (33%) survived to 1 year of age, four (27%) to 2 years; in young males mortality appeared to be somewhat higher than in females, but the adult/subadult sex ratio was near unity. The mean calving interval was 22.6 months. Overall mean density was about 0–2 animals/km 2 . Vegetation‐specific densities indicated a marked preference for woody vegetation generally, and some preference for riverine areas in the dry season. Data on seasonal distribution showed marked concentrations near rivers in the dry season and dispersal into deciduous woodlands away from rivers in the rainy season. The seasonal movements were correlated with, and presumably causally related to, rainfall and the condition of the vegetation; they involved distances of 20–30 km, rarely up to 50 km. Home ranges measured on average 160 km 2 , with maxima of 650 km 2 in males and 480 km 2 in females. The results are compared with those of other studies, and their implications for management are discussed. The future of the giraffe in Tsavo East National Park depends on the development of the woody vegetation inside the park, and probably also on the future pattern of land use outside, as some giraffes appear to move out of the park at times. Résumé Les dégâts effectués par les éléphants sur les arbres du Parc National Tsavo au Kénia ont probablement influencé négativement les herbivores adaptés aux habitats boisés, y compris la girafe ( Girafa camelopardalis ). Nous avons conduit une ttude écologique pour déterminer la densité, la préférence et utilisation d'habitat, et la dynamique de la population de cette espèce, en employant des recensements routiers et l'identification d'individus a l'aide de différences en configuration des tâches. La structure de la population varie entre saisons et localités, ce qui indique une distribution différente des classes d'âge/sexe. La mortalité annuelle des adultes était environ 10%. Entre 15 nouveau‐nés cinq (33%) atteignaient l'âge d'un an, quatre (27%) deux ans. La mortalité des jeunes mâles était un peu plus élevée que celle des femelles, mais le sex‐ratio des adultes/subadultes était prés de 1: 1. L'interval moyen entre deux mises‐bas était 22,6 mois. La densité moyenne était environ 0,2 animaux/km 2 , étant plus élevée dans les habitats bien boisés, et aussi prés des rivières en saison sèche. Les girafes se concentraient auprès des rivières en saison séche, se dispersant aux bois à feuilles caduques en saison des pluies. Ces déplacements saisonniers étaient en corrélation statistique et probablement aussi causale ‐ avec les quantités de pluie; ils se montaient à 20–30 km, rarement à 50 km. Les domaines vitaux mesuraient en moyenne 160 km 2 , avec un maximum de 650 km 2 pour les mâles et de 480 km 2 pour les femelles. Les résultats sont comparés avec ceux d'autres études et discutés en termes d'application pratique. L'existence continue des girafes au Parc National Tsavo dépend du développement de la végétation boisée dans le parc, et aussi de l'utilisation humaine des régions voisines, comme il y a des girafes qui sortent du parc de temps en temps.