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Alcoholic Hallucinosis—An Aetiological Study
Author(s) -
SCOTT D. F.
Publication year - 1967
Publication title -
british journal of addiction to alcohol and other drugs
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 2.424
H-Index - 193
eISSN - 1360-0443
pISSN - 0007-0890
DOI - 10.1111/j.1360-0443.1967.tb05338.x
Subject(s) - delirium tremens , etiology , psychiatry , psychology , medicine
The aim of this study was to investigate aetiological factors in Alcoholic Hallucinosis. First, to determine whether or not there was an increased incidence of schizoprenia in the parents and siblings of a group of patients diagnosed as suffering from alcoholic hallucinosis as compared with two other groups of alcoholic patients. Second, to determine whether there is any difference in the drinking history of patients with alcoholic hallucinosis as compared with patients with delirium tremens or chronic alcoholics without psychosis. Third, to detect differences in marital, occupational and social class in alcoholic hallucinosis, delirium tremens, chronic alcoholics without psychosis and schizophrenics (first admission for this disease). Résumé 1. Un groupe de patients souffrant d'hallucinose alcoolique a été comparéà un groupe égal d'alcooliques chroniques sans psychose et à un autre groupe de patients souffrant de delirium tremens. 2. Aucun excès de schizophrénie n'a été constaté chez les parents ou les proches du groupe d'hallucinose alcoolique. L'incidence de schizophrénie chez les parents des patients des trois groupes a été déterminée; il a été constaté qu'elle suit les prévisions de la population générale, les mêmes constatations sont valables pour les proches des trois groupes combinées. 3. Un groupe de patients souffrant d'hallucinose alcoolique boit de la bière de préférence à toute autre boisson alcoolisée. Ces constations atteignent une signification statistique. Le groupe d'hallucinose alcoolique, s'il préfère la bière à toute autre boisson alcoolisée, en consomme moins que les deux autres groupes alcooliques. Lorsque la boisson des spiritueux a été considérée, son nombre a été trop limité pour une analyse. 4. Les conditions sociales, maritales et professionnelles d'un groupe de patients à hallucinose alcoolique ont été comparées à un groupe de patients souffrant de delirium tremens, à un groupe d'alcooliques chroniques et finalement à un groupe de schizophrènes. Aucune différence n'a été constatée lorsque les groupes alcooliques ont été comparés. Le groupe schizophrène contenant une plus grande proportion de patients célibataires, ne diffère en rien autrement. Zusammenfassung 1. Eine Gruppe von Alkoholhalluzinosepatienten wurde mit einer gleichabgestimmten, chronischen Alkoholikergruppe ohne Psychose und einer anderen, ebenfalls gleichabgestimmten Patientengruppe mit Delirium tremens verglichen. 2. Bei den Eltern oder Geschwistern der Alkoholhaluzinosegruppe fand man kein Übermass von Schizophrenie. Das etwaige Auftreten von Schizophrenic bei den Eltern von Patienten aus den vereinten drei Gruppen wurde ermittelt und gefunden, dass sich dies dem Erwartungsgrad für die Allgemeinheit der Bevölkerung annäherte, was auch aus Befunden über die Geschwister der vereinten drei Gruppen hervortrat. 3. Eine Patientengruppe mit Alkoholhalluzinationen zieht Biertrinken dem Genuss anderer alkoholischer Getränke vor. Dieser Befund ist von statisticher Bedeutsamkeit. Jene Alkoholhalluzinosegruppe, welche Bier anderen alkoholischen Getränken vorzieht, konsumiert kleinere Mengen als die beiden anderen Alkoholikergruppen. Bei der Beurteilung der Einnahme von geistigen Getränken war die Versuchszahl zur Aufstellung einer Analyse zu gering. 4. Der Familien‐, Berufs‐ und gesellschaftliche Stand einer Gruppe von Alkohol‐halluzinosepatienten wurde mit dem einer Patientengruppe, welche an Delirium tremens litt, sowie mit einer chronischen Alkoholikergruppe und schliesslich mit einer Schizophrenengruppe verglichen. Beim Vergleiche dieser Alkoholikergruppen zeigten sich keinerlei Unterschiede. Die Schizophrenengruppe enthielt eine grössere Anzahl von ledigen Patienten, wies aber sonst keine wesentlichen Unterschiede auf.