Premium
Are Canadian‐Trained PhDs Disadvantaged in the Academic Labor Market?
Author(s) -
Wilkinson Lori,
Bramadat Janine,
Dolynchuk Rachel,
St. Aubin Zoë T.
Publication year - 2013
Publication title -
canadian review of sociology/revue canadienne de sociologie
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.414
H-Index - 35
eISSN - 1755-618X
pISSN - 1755-6171
DOI - 10.1111/cars.12019
Subject(s) - graduation (instrument) , disadvantaged , job market , political science , humanities , sociology , work (physics) , law , art , mechanical engineering , geometry , mathematics , engineering
Beaucoup d’étudiants s'inquiéent de leurs perspectives d'emploi à la fin de leurs éudes. Un de leurs soucis principaux provient de l'idée répandue chez les Canadiens qu'une formation doctorale outre‐mer augmente leurs chances de trouver une position à leur retour au pays. Ils s'appuient sur la conviction que beaucoup de facultés de sociologie préfèrent engager des diplômés de programmes de pays étrangers. Or, l'information accessible concernant le nombre et l'origine des titres de professeurs en sociologie récemment embauchés au Canada, et compte tenu d'une attention particulière portée à cet écart, montre que les facultés canadiennes ont tendance à recruter plus de personnel ayant obtenu un doctorat au Canada qu’à l’étranger, bien qu'il y ait quelques exceptions. Many PhD students are anxious about their job prospects upon graduation. One of the major themes involves a perception that Canadians going abroad for doctoral training are privileged in their job search when they return to Canada to look for academic work. The belief is that many sociology departments prefer to hire graduates of programs outside the country. An examination of available information regarding the number and origin of degrees for recently hired sociology professors in Canada can help address this gap and finds that Canadian departments tend to hire Canadian‐trained PhDs more than not, but there are some exceptions.