Putting physical environments in their place: The next chapter?

The content of two books by Kenneth Gregory on the nature of physical geography, published in 1985 and 2000 provides a basis from which to consider changing priorities and, in the light of recent developments, to speculate about what additional chapter might be appropriate in 2016. It is suggested that physical environment, always a part of physical geography, characterized using techniques recently available, could be the subject for such a further chapter. This is already being anticipated by enhancements of existing techniques, by utilization of new methods, and by application of novel integrating concepts. A general integrated, holistic model that is more place located is required, and should be formulated so that it can be adapted for specific places and characterized in ways to indicate sensitivity, stressors, or risk factors. This model with cultural overlay needs to be positioned in space and time to focus on how it has arisen. Such a model could provide the basis for enquiries about whether it is optimal, how it could be improved, sustainably restored, and designed. It could be used for analyzing potential results of climate change and would put physical environment in its place within physical geography. Positionner les environnements physiques au bon endroit : est‐ce le prochain chapitre ? Kenneth Gregory a fait paraître, en 1985 et 2000, deux ouvrages portant sur la géographie physique, lesquels forment une assise sur laquelle on peut aborder le changement des priorités et, à la lumière de l'évolution récente, spéculer sur le prochain chapitre pouvant convenir en 2016. Il est proposé que l'environnement physique, en tant que composante de la géographie physique qui est décrite à l'aide de techniques mises au point récemment, pourrait faire l'objet d'un nouveau chapitre. Ceci est déjà envisagé grâce aux améliorations apportées aux techniques existantes, à l'utilisation de nouvelles méthodes et au déploiement de nouveaux concepts intégrateurs. Il est nécessaire de concevoir un modèle général, intégré et holistique qui soit davantage axé sur le lieu afin d'être adaptable à des lieux particuliers et de montrer les facteurs de sensibilité, de stress, ou de risque. Ce modèle est doté d'une couche culturelle et doit se positionner dans l'espace et le temps afin de mettre l'accent sur son émergence. Un tel modèle servirait d'assise aux études visant à établir s'il est optimal et comment il peut être amélioré, durablement restauré et conçu. Il pourrait être utilisé dans l'optique d'analyser les répercussions possibles des changements climatiques et permettrait de positionner l'environnement physique au bon endroit au sein de la géographie physique.