Skin colour assessment in safety testing of cosmetics. An overview

Synopsis Few subjects are as problematical to dermatologists, cosmetologists and related experimenters involved in safety testing as the clinical assessment of skin colour. At the core of the problem is the word erythema, which does not communicate a sense for the nuance of red. In addition, light shades of red are not visible in dark‐skinned people. Human assays aiming at evaluating the irritancy and allergic potential of cosmetics take advantage to use instrumental assessments of skin colour. However, there are pitfalls related to the complex biological aspects of the cutaneous reactivity, to the design of the in vivo assay, and to technical aspects bound to the principle of the measuring methods. Sound information can only be reached when these concerns are solved. Résumé Peu de sujets sont aussi problématiques pour les dermatologues, cosmétologues et autres expérimentateurs impliqués dans les tests de sûreté que l’évaluation clinique des couleurs cutanées. Au centre du problème est le mot érythème qui ne communique pas la notion des nuances de rouge. De plus, un érythème discret peut ne pas être visible chez des individus à la peau foncée. Les tests humains visant àévaluer les potentialités d’irritation et d’allergie aux cosmétiques bénéficient des évaluations instrumentales de la couleur cutanée. Cependant, il existe des pièges liés aux aspects biologiques complexes de la réactivité cutanée, au choix du test in vivo et à des aspects techniques en relation avec le principe du système de mesure. Une information adéquate ne peut être obtenue qu’après avoir résolu ces problèmes.