Sur quelques phénomènes transitoires présentés par l'émission exo‐électronique photostimulée des couches minces de Al 2 O 3

On a étudié le temps de retard de l'émission électronique photostimulée des couches de Al 2 O 3 en fonction de l'intensité de et l'épaisseur de la couche. La discussion des résultats conduit à la conclusion que le nombre des pièges électroniques de l'oxyde est probablement le facteur déterminant de ces phénomènes transitoires. On met en évidence l'analogie remarquable entre les courbes observées et celles „build‐up„ présentées par certaines substances phosphorescentes contenant également un grand nombre de pièges.