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Le present article s’interesse aux modalites de representation du conflit guerrier et, de maniere plus generale, aux epreuves de la representation dans L’Art francais de la guerre d’Alexis Jenni (Goncourt 2011). Nous examinons, a partir de cette problematique, la rhetorique de l’indicible qui traverse le roman; les rapports entre « dire » et « montrer », a l’origine de la confrontation ou de la complementarite, dans le recit, de ces deux systemes representatifs que sont la narration et la peinture; et, enfin, l’ecriture de la guerre et ses modeles, tant litteraires que cinematographiques.

<i>L’Art français de la guerre</i> ou les épreuves de la représentation