English (United Kingdom)

https://curated-unify.zendy.io/wp-json/zendy-region/v1/featured_content/oa?rat=en

https://curated-unify.zendy.io/wp-json/zendy-region/v1/highlighted_journal/

Global: Zendy Tools annual

Presents the keyphrase highlighting as premium feature

Keyphrase Highlighting

Presents the summarisation as premium feature

Summarisation

Insights

Presents the pdf analysis as premium feature

PDF Analysis

Presents the zaia usage as premium feature

ZAIA

Global: Zendy Tools monthly

Global: Zendy Plus monthly

Presents the access of premium content as premium feature

Premium Content

Global: Zendy Plus annual

Global: Zendy Free Plan

Yorke et Maplestone, dans leur excellent ouvrage sur les néma­ todes parasites des vertébrés (1926), parlent de l’existence des six papilles buccales chez Dioctophyme Collet-Meygret, 1802, en oppo­ sition avec le genre Eustrongylides Jaegerskiöld, 1909, lequel est muni de 12 papilles buccales (ou 18), disposées en deux cercles. Dans la diagnose du genre, nous lisons également : « ...mouth simple without lips, but surrounded with a circle of six papillæ ». Cette notion erronée sur l’existence des six papilles buccales se répète chez tous les auteurs (sauf chez Baylis et Daubney, 1926), malgré l’autorité de Leuckart, lequel dans sa diagnose du genre s’exprime ainsi : « Der Körper ist am Hinterende abgestumft, vorn dagegen, besonders bei dem Männchen, mehr zugespitz und im umkreis der Undeutlich sechseckigen Mundœffnung mit sechs warzenförmigen Papillen von ansehnlicher Grösse besetzt, neben denen noch mehrere andere kleinere gefunden werden. » Nous n’avons jusqu’à présent qu’un seul travail dans lequel les caractères systématiques et l’anatomie de notre ver soient traités d’une manière plus détaillée, c’est celui de Leuckart (1876). Et on peut même s’étonner que l’auteur en question n’ayant à sa disposi­ tion qu’un matériel très restreint et mal fixé en ait su tirer un si bon parti. D’autre part, Balbiani (1870) a consacré son attention à la ques­ tion du développement sans réussir malheureusement à l’élucider. Nombre de questions demandent cependant à être reprises et tra­ vaillées avec les méthodes modernes, pour ne parler que de la structure, de l’œsophage sur la signification de laquelle Leuckart s’est visiblement mépris. D’autre part, il est d’une importance capitale, pour la connais­ sance du cycle évolutif, d’être fixé sur la spécificité des strongles, provenant de différents hôtes, appartenant, comme nous savons, à des groupes systématiques très éloignés : phoque, loutre, putois, loup, chien, bœuf, cheval, porc et homme. La facilité relative avec laquelle on peut se procurer à Varsovie

Quelques précisions sur les caractères spécifiques du strongle géant du chien