Premium
A LABORATORY STUDY OF TICK REPELLENTS
Author(s) -
HADANI A.,
ZIV M.,
RECHAV Y.
Publication year - 1977
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1977.tb02691.x
Subject(s) - deet , dimethyl phthalate , gerbil , acaricide , benzyl benzoate , diethyl phthalate , biology , toxicology , phthalate , chemistry , organic chemistry , medicine , ischemia , cardiology
The repellent and acaricidal properties of known tick repellents were studied in the laboratory with an in vivo model which utilizes a natural host, the gerbil Meriones tristrami. Diethyl toluamide, benzyl benzoate and dimethyl phthalate were repellent in descending order to the pre‐imaginal stages of the ixodid Hyalomma excavatum. While dimethyl phthalate was practically devoid of acaricidal properties, benzyl benzoate was almost as effective an acaricide as a repellent, and diethyl toluamide was a better acaricide than repellent on larvae. Inactivating the gerbil host with tranquilizers greatly enhanced the persistence of dimethyl phthalate. This implies that a good portion of the repellent was eroded mechanically by the animal's activity. RÉSUMÉ ÉTUDE AU LABORATOIRE DE RÉPULSIFS A L'ÉGARD DES TIQUES Les propriétés répulsives et acaricides des isomères ortho‐et meta‐diethyl toluamide (O‐DET et M‐DET), du benzyl benzoate (Bb) et du dimethyl phthalate (DMP) ont été étudiées au laboratoire, par une méthode “in vivo” , en utilisant le Merion (Meriones tristrami) – un hǒte naturel des tiques. Larves et nymphes d‘ Hyalomma excavatum Koch, ont été employées dans notre étude. Les concentrations de Bb causant 50% et 90% de mortalité (LC 50 et LC 90 ) sur les nymphes, ont été respectivement de 1,1% et 2,5%. Les concentrations causant 50% et 90% de répulsion à l’égard des tiques, dans les měmes conditions, ont été respectivement de 0,88% et 2,0%. Les valeurs de RC 50 et RC 90 pour le DMP ont été respectivement 0,4% et 1,1% pour les larves et 2,6% et 7,6% pour les nymphes. Du point de vue du pouvoir acaricide, le DMP a montré une très faible activité. Quant à l'O‐DET, les doses répulsives et acaricides évaluées par les RC 50 et LC 50 ont été respectivement de 0,2% et 0,24% pour les larves et de 0,31% et 0,62% pour les nymphes. Les résultats obtenus pour l'isomère meta‐DET ont été semblables. La persistance de DMP sur le Merion a été étudiée sur les animaux traités, soit actifs, soit immobilisés par l'administration d'un tranquilisant – le Vetacalm (Veterinaria A.G., Zurich, Suisse). Sur les animaux actifs, traités par du DMP aux concentrations de 2,82% et de 5,64% l'activité répulsive déterminée après 24 heures est tombée respectivement à zéro et à 69% de l'activité initiale. Dans les měmes conditions, des animaux immobilisés par traitement tranquilisant ont conservé 86% et 100% de l'activité répulsive initiale. Des essais réalisés 72 heures après le traitement avec le DMP ont donné des résultats identiques. L'utilisation des substances répulsives présente certains avantages sur celle des insecticides, notamment, étant non‐toxique pour les animaux et ayant un pouvoir sélectif négligeable envers la population de l'arthropode traitée.